Jack : « J’ai commencé à écrire de la musique quand j’étais malade et que je passais mes journées à l’hôpital. Et aujourd’hui mon premier single sort”

Jack : « J’ai commencé à écrire de la musique quand j’étais malade et que je passais mes journées à l’hôpital. Et aujourd’hui mon premier single sort”
Jack : « J’ai commencé à écrire de la musique quand j’étais malade et que je passais mes journées à l’hôpital. Et aujourd’hui mon premier single sort”

Lorsqu’il était encore contraint de passer toutes ses journées à l’hôpital, la musique forte, dans des écouteurs, était sa bouée de sauvetage. Giacomo Penno (Jack) a 18 anset à 11 ans, il a découvert qu’il avait le La maladie d’Addisonune affection qui affecte les glandes surrénales et peut entraîner une hypotension artérielle, une perte de poids et une sensation de fatigue et de faiblesse.

Lorsqu’il arrive enfin au Centre Maria Letizia Verga de Monza, après un long traitement et le greffe de moelleil parvient enfin à vaincre sa maladie, même si certaines complications le laissent avec une difficulté motrice qui ne lui permet pas de marcher pendant de longues distances (mais rien d’insurmontable pour lui).

Et c’est précisément au cours de son parcours thérapeutique au Centre de Monza qu’il découvre une grande passion pour la musiquequ’il a commencé à cultiver grâce aux musicothérapeutes du Centre et grâce aux les conseils d’un artiste, ami de la structure, comme Achille Lauro.

Et maintenant, enfin, son rêve devient réalité. Aujourd’hui encore, il sort sur toutes les plateformes de streaming (Spotify, YouTube, Amazon Musique Et Pomme Musique) sa première pièce, Mon moralune chanson pop-rock qui est un hymne à ne pas abandonner ses rêves, malgré les mille difficultés que la vie nous propose, entièrement écrit par celui qui a dû surmonter de nombreux défis.

Giacomo, la musique t’a-t-elle aidé à faire face à la maladie ?
«Oui, ça m’a aidée à me vider l’esprit, à essayer de ne pas toujours penser à ce que je vivais. Les seules voix que j’entendais chaque jour étaient celles de ma mère et des médecins. Pouvoir écouter les artistes que j’aime, avec leurs paroles, c’était comme avoir un ami à mes côtés, prêt à me soutenir dans les moments de joie, de découragement, d’ennui. Et maintenant, c’est devenu un pur amour. Même aujourd’hui, où j’ai récupéré, quand j’ai des moments sombres, ou que je suis déprimé, ou que je suis trop agité et que j’ai besoin de me calmer, je trouve de la force dans les chansons, dans les instruments, dans la musique.”

Ce qui, du pur divertissement, est devenu quelque chose de plus.
«Je l’ai toujours aimé, mais de simple bande originale de ma vie, il est devenu de plus en plus important. J’avais besoin de rejeter mes peurs et de les retrouver écrites sous mes yeux, sur une feuille de papier, noir sur blanc. Et c’est ainsi qu’elle est devenue une amie avec qui je pouvais me défouler. Et, à partir de mots simples, j’ai commencé à assembler des rimes et des pensées plus complexes, donnant ainsi vie à mes premières paroles. »

PREV première canicule arrive ! Des pointes de 45 degrés
NEXT le traitement est rythmé par le rock d’Il Tirreno