Soja et alimentation sportive : un allié précieux pour les muscles et un poids santé.

Le soja est très bon allié pour ceux qui pratiquent du sport et nécessite un apport protéique important pour pouvoir s’exprimer au mieux lors des représentations. En fait, précisément la présence de protéines c’est l’un des principaux atouts de cette légumineuse, qui peut également favoriser l’augmentation de masse musculaire ou de perte de poidss’il est inclus dans une alimentation correcte et un programme d’entraînement équilibré. De plus, le soja peut être consommé de différentes manières: on utilise principalement les germes et les haricots, éventuellement avec d’autres légumes, ou dans des préparations telles que Tofu (présure de soja) ou dans du lait de soja. Moins utilisés dans les pays occidentaux, mais néanmoins très utiles pour la digestion, sont des aliments tels que tempeh, miso et tamari. Il faut cependant être prudent : le soja est une source importante de protéines, mais il ne doit pas nécessairement être le seul dans notre alimentationmême si vous faites du sport.

Intégrer le soja

L’intégration du soja est très importante surtout pour les enfants les athlètes qui suivent un régime végétarien ou végétalien. L’histoire récente a montré que d’excellents résultats peuvent également être obtenus en suivant ce régime, comme ils l’ont démontré Novak Djokovic ou Lewis Hamilton. L’important, évidemment, est d’intégrer autrement les protéines qui ne proviennent pas d’aliments d’origine animale (viande, œufs et fromage) : plusieurs études ont expliqué comment il existe des suppléments de soja capables de optimiser les performances musculaires pendant et après l’entraînement et pour améliorer la récupération et la guérison des blessures. Fondamentalement, la consommation quotidienne de soja ne doit pas dépasser 50 grammes par jour, afin de ne pas impacter de manière significative les niveaux de testostérone, en raison de la présence de isoflavonesdes substances qui produisent un effet similaire à celui des œstrogènes dans l’organisme.

NEXT Maladie du légionnaire : le danger vient de l’eau