immédiatement un décret avec des points urgents, puis plus tard un projet de loi avec plus de moyens

Ils ne peuvent pas attendre, les listes d’attente. La mesure envisagée a été sauvée, au moins en partie réorganiser le système de tests et de visites ambulatoires, le talon d’Achille de notre santé publique. Le Premier ministre Giorgia Meloni elle le veut vraiment et l’a relancé à plusieurs reprises, y compris dimanche dernier, perturbée par l’hypothèse que le projet pourrait échouer en raison de difficultés de trésorerie.

LE ministères de la Santé et de l’Economie ils ont alors embauché un Négociation « fébrile »jusqu’à ce qu’un compromis soit trouvé. Le double piste. Commençons immédiatement par un décret qui arrive ce matin au Conseil des ministres et est soutenu par des fonds déjà disponibles (on parle de plus de 300 millions). Nous réfléchirons ensuite à un facture à envoyer aux Chambres qui achève la réforme.

Le décret prévoit l’ouverture des cliniques le samedi et le dimanche avec la possibilité d’étendre les horaires d’ouverture également pourlits gratuits dans les chambres occupé par des patients en attente de contrôle. Prends-leobligation pour les Régions créer centres de réservation à guichet unique où transmettre tous les agendas de rendez-vous des structures publiques et affiliées. Une plateforme nationale de suivi du système offre-demande est créée confié à Agenasagence des services nationaux de santé, chargée d’intervenir en cas de non-respect des délais par les autorités sanitaires locales. Passer, à partir du 1er janvier 2025le fameux tmontant des dépenses pour le recrutement du personnel ce qui met toujours le personnel en difficulté. Il était bloqué il y a vingt ans : de 10 %, il est passé à 15.

La confirmation a été donnée par le ministre Orazio Schillaciinvité hier soir à Cinq minutes de Vespa, alors que le texte faisait encore l’objet d’une lutte acharnée entre les techniciens de la Mef et du Salute. «Ce serait un tournant historique si le citoyen pouvait des examens garantis au bon moment, par exemple un scanner qui ne peut être reporté dans les 72 heures”, a déclaré Schillaci avec soulagement. Et encore : « On rappellera que il n’est pas possible d’effectuer une intra moenia (c’est-à-dire recourir à un travail indépendant au sein de l’hôpital) un nombre de services supérieurs à ceux fournis par le public. Nous travaillerons avec les Régions.”

Le ministre a ajouté que le Les travailleurs du domaine de la santé disponible pour des quarts de travail supplémentaires apprécieront le réduction d’impôt sur les heures supplémentaires : «C’est fondamental et je crois que les salariés y répondront positivement». Aujourd’hui le taux marginal est de 46%, il faudra qu’il atteigne 15.

Actuellement il n’y a pas de données sur la durée des attentes scientifiquement détectés, ceux qui existent sont en fait basés sur des anecdotes, les informations sont incomplètes et fragmentaires. Selon une étude de OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) de 2019 L’Italie ne fait pas partie des pays les plus mal placés d’Europe.

Pour réaliser l’ensemble du projet vous devrez alors ajouter un facture qui comprend entre autres l’augmentation du plafond des dépenses pour l’achat de les prestations des particuliers affiliés, le renforcement des services de santé mentale, l’obligation d’en garantir la fourniture en recourant à indépendant à l’intérieur de l’hôpital si le citoyen n’a pas été satisfait dans les délais indiqués sur l’ordonnance. Il semble l’hypothèse a disparu pour permettre aux pharmacies d’effectuer certains tests de base.

Les Régions s’attendent à être impliquées. Hier, ils ont eu une réunion qualifiée de “insatisfaisante” avec le sous-secrétaire à la Santé, Marcello Gemmato: «Nous n’avons pas vu de texte écrit», leur coordinateur est déçu Raffaele Donini. L’opposition attaque. Sur les listes d’attente «le gouvernement bluffe», accuse le président des sénateurs du Parti démocrate, Francesco Boccia.

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