Que contient le décret annoncé par le gouvernement sur les listes d’attente

Que contient le décret annoncé par le gouvernement sur les listes d’attente
Que contient le décret annoncé par le gouvernement sur les listes d’attente

Une salle d’hôpital – Ansa

En fin de compte, la solution devrait être deux mesures différentes. Un décret législatif « léger » qui ne nécessite essentiellement pas de ressources, puis un projet de loi plus « motivé » qui devrait inclure les dispositions qui nécessitent une couverture économique. La promesse de Giorgia Meloni d’aborder le problème des listes d’attente, la dernière fois samedi depuis la scène de la Piazza del Popolo lors de la cérémonie de clôture de la campagne électorale de Fdi pour les élections européennes, n’a en réalité pas encore de texte clair défini. Cela a été confirmé lors de la réunion d’hier entre les Régions et le Ministère de la Santé (mais personne du Ministère de l’Économie) par le même coordinateur de la commission santé de la Conférence des Régions et conseiller à la santé de l’Émilie-Romagne Raffaele Donini qui a défini la réunion a été “d’un ton poli”, mais avec “une certaine gêne pour les Régions” car “à ce jour nous ne savons toujours pas quels sont les textes d’un éventuel décret ou projet de loi ou d’une éventuelle couverture”. Aussi parce que, poursuit-il, « nous souhaitons contribuer à la genèse des règles, et non seulement faire des observations lorsqu’elles sont approuvées ».

Mais ce que l’on sait jusqu’à présent, c’est que le décret, dont l’approbation est plus immédiate et qui pourrait déjà arriver au Conseil des ministres d’aujourd’hui, comprendra des mesures d’impact et de réorganisation telles que la plateforme de suivi des performances qui sera gérée par Agenas, pour comprendre le poids de l’offre et de la demande de services ; l’interopérabilité des systèmes régionaux puis une structure d’inspection créée ad hoc ; la mise en place de coupes régionales auprès de particuliers accrédités et l’achat de forfaits de performances intra-muros. Dans le cadre du décret, l’accès à la télémédecine devrait également être garanti aux médecins de famille et aux pédiatres. Alors que le projet de loi, qui devra être examiné par le Parlement avec un allongement conséquent, devrait plutôt inclure – après une discussion plus approfondie également en raison de la nécessité d’engager des ressources plus importantes – le relèvement du plafond des dépenses pour le secteur privé et supplémentaires pour le personnel.

Hier soir, les paroles du ministre de la Santé Orazio Schillaci sont arrivées pour tenter de mettre de l’ordre dans le bavardage de l’actualité. «Certaines mesures anti-liste d’attente seront opérationnelles après le Conseil des ministres de demain (aujourd’hui, ndlr)», précise-t-il, comme «l’augmentation du plafond des dépenses pour l’embauche du personnel soignant, qui passera de 10% à 15 ans». %”. Et un allègement fiscal de 43 à 15 % des heures supplémentaires. D’autres, comme la suppression du plafond “à partir de début 2025. Ce qui représenterait un événement historique après 20 ans”. Par ailleurs, assure le ministre, “il y aura immédiatement un agenda de réservation unique, qui regroupera toutes les places disponibles dans le secteur public et privé agréé”. Enfin, 80 millions sont prévus pour des mesures liées à la santé mentale. Le but ultime des interventions, conclut-il, est “enfin de faire en sorte que lorsqu’un citoyen a besoin de rendre un service, il le fasse aux frais du Service National de Santé”, car il ne sera plus possible pour une structure “de effectuent plus de services intra-moenia que dans le SSN”.

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