F1 – F1, Ferrari déplace l’attention technique vers le groupe motopropulseur 067

F1 – F1, Ferrari déplace l’attention technique vers le groupe motopropulseur 067
F1 – F1, Ferrari déplace l’attention technique vers le groupe motopropulseur 067

Ferrari regarder vers l’avenir dans F1 qui a en fait commencé il y a longtemps, d’une certaine manière. Pour quelle préoccupation conception concernant les prochaines évolutions aérodynamiques, les équipes ne sont pas encore autorisés à entreprendre des travaux en soufflerie ou CFD avant le 1er janvier 2025. Au contraire, en ce qui concerne les nouveaux moteurs, les travaux avancent à un rythme forcé. Il ne pouvait en être autrement face à un changement aussi invasif dans l’architecture des unités turbo-hybrides de deuxième génération qui, comme nous le savons, entreront en scène dès le championnat du monde. 2026.

Il y a deux changements : la suppression duMGU-H, complexe et peu intéressant pour les constructeurs par rapport à une utilisation potentielle sur les voitures de route. En revanche, la contribution de la puissance générée parMGU-K. Récupération d’énergie cinétique qui sera triplée par rapport à aujourd’hui. On passera d’environ 160 chevaux garantis par la somme des moteurs-générateurs actuels à environ 470 chevaux issus des moteurs 2.0 turbo-hybrides. La limite imposée par le débit de carburant dans le moteur à combustion interne n’est pas négligeable et ne dépendra pas du débit lui-même (aujourd’hui 100 kg par heure, ndlr) mais du pouvoir calorifique fixé à 3 000 MJ par heure.

Pour mieux comprendre l’ampleur des flux énergétiques décrits ci-dessus, il faut considérer que la combustion d’un litre d’essence génère environ 34 MJ d’énergie. Et que 1 kWh équivaut à 3,6 MJ. Tout est lié par un contrainte pas du tout anodin : les nouveaux moteurs devront en effet garantir la même chose performance des actuels. Les premières simulations réalisées par équipe ils/elles ont fourni retour peu flatteur, au point d’exiger une révision complète de la concept du F1 également d’un point de vue aérodynamique.

La Scuderia Ferrari veut être prête pour cette nouvelle révolution copernicienne, après avoir échoué de façon spectaculaire à passer des moteurs atmosphériques aux moteurs turbo-hybrides, il y a exactement dix ans. Comme les autres constructeurs, l’équipe historique italienne a également dû attendre les directives macroscopiques annoncées par FIA en août de 2022, ont été formalisés dans une spécification technique officielle, sur la base de laquelle la phase de prototypage a pu démarrer. Cependant, une réglementation en constante évolution, précisément en ce qui concerne retour des constructeurs.

Le dernier projet a même vu apparaître une sorte de système surboostagedans le style KERS, décrit à l’article 5.4.8 du règlement technique. Selon ce paragraphe, les différents pilotes de F1 ils peuvent atteindre des vitesses maximales de 345 km/h dans des conditions de fonctionnement standard. En même temps ils peuvent donc utiliser un mode dit “override”. Nous parlons d’une approche qui permet aux voitures de F1 d’avoir un nouveau pic de puissance de la batterie qui, par extension, fournira un coup de pouce supplémentaire pour atteindre la vitesse de 355 km/h.

le nouveau mode Override pour les groupes motopropulseurs 2026

F1, Ferrari : l’énorme défi pour l’équipe de Gualtieri

Après de nombreuses années, les « ingénieurs » de l’équipe historique de Maranello ils ont créé un moteur pour le hauttant en termes de performance celui de la fiabilité. Nous faisons référence à une nette reprise des performances qui a commencé en 2020l’année au cours de laquelle le moteur du Cheval cabré payé beaucoup écart par rapport à Mercedesà l’époque référence de la catégorie en ce qui concerne Unité de puissance. Le conception du nouveau cœur battant des prochains Ferrari est arrivé à un moment crucial. C’est ce qu’affirme le responsable technique des groupes motopropulseurs Enrico Gualtieri, à travers une interview accordée à la F1 lors du GP d’Imola le 17 mai.

« Sans aucun doute, ce mois-ci, nous nous trouvons à un moment crucial concernant le projet de groupe motopropulseur 2016. Nous nous concentrons de plus en plus sur cette question, sans oublier évidemment que nous gérons et opérons la saison en cours. Le nouveau parcours réglementaire sur le moteur reste certainement un grand défi technique et les changements que nous avons apportés et que nous devons encore opérer pour la nouvelle réglementation nous présentent de gros efforts à réaliser. Nous parlons donc d’un moment crucial dans la mesure où nous orientons certains efforts du département technique dans cette direction. Des journées et des mois chauds, en bref…”

Enrico Gualtieri, responsable du groupe motopropulseur Ferrari

En fin de compte, nous ajoutons un fait à la fois crucial et intéressant. Un domaine où le Ferrari bref, ça pourrait faire une différence. Parlons de la transition vers des carburants qui seront en fait 100 % durables. L’écurie située via Abétone Inférieur 4en fait, porte une attention particulière à l’optimisation des différentes caractéristiques de combustion. Tout cela pour essayer de s’adapter au nouveau mélange de carburants à base d’éthanol. Il ne reste donc plus qu’à attendre, sachant que la rousse est dans le coup et qu’elle sera sans aucun doute préparée.


Auteur: Roberto Cecere – @robertofunoat

Images: Scuderia Ferrari – F1Tv

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