Du maillot à pois Giulio Ciccone à Alberto Bettiol : seulement 8 Italiens sur le Tour de France, qui ils sont et leurs ambitions

Du maillot à pois Giulio Ciccone à Alberto Bettiol : seulement 8 Italiens sur le Tour de France, qui ils sont et leurs ambitions
Du maillot à pois Giulio Ciccone à Alberto Bettiol : seulement 8 Italiens sur le Tour de France, qui ils sont et leurs ambitions

Nous sommes ici maintenant. Il ne manque plus que la Bora Hansgrohe de Primoz Roglic et nous aurons la liste de départ définitive du Tour de France 2024. L’ancien champion italien du contre-la-montre sera certainement dans la Bora Matteo Sobreroformant ainsi une patrouille de 8 Italiens à la prochaine Grande Boucle qui commencera dèsItalie, avec la fraction Florence-Rimini. C’est un peu dommage qu’il y en ait si peu, mais malheureusement – ces dernières années – nous avons atteint le nombre minimum de présences dans les Grands Tours autres que le Giro d’Italia. Malgré tout, ce Tour ne comptera pas le plus petit nombre d’Italiens : les le record est de 6 coureurs italiens au Tour 1983. Autrement dit, les Italiens amenés par Metauro Mobili-Pinarello qui a également remporté trois étapes dans cette édition, dont une avec nous Riccardo Magrini (le hameau de l’Île d’Oléron). L’année dernière, nous en avions 7, donc c’est déjà bien d’en amener 8. Cependant, les absences de Lorenzo Rota à l’Intermarché Wanty et de Jacopo Guarnieri dans le Lot Dstny. Non qu’il ne puisse pas y avoir d’autres Italiens, mais Rota et Guarnieri s’attendaient à une convocation pour ce qui s’était passé dans ces fermes. Alors on sait, les différents Ganna, Milan Et Consonni ils sont occupés à préparer les JO de Paris et ont choisi de suivre d’autres programmes que le Tour. A ce stade, analysons qui nous verrons dans la course par étapes française et quelles ambitions ils auront.

PREV Barzagli et la Fiorentina, après de nombreuses années, le mariage aura lieu : le banc des moins de 16 ans est prêt
NEXT Red Bull, Verstappen admet : “Je pensais avoir l’avantage en Espagne, mais à la place…”