cette année, un jour plus tôt. L’atelier de Cgia Mestre

cette année, un jour plus tôt. L’atelier de Cgia Mestre
cette année, un jour plus tôt. L’atelier de Cgia Mestre

MESTRE – C’est ledernier week-end de l’année au cours duquel les Italiens sont appelés à travailler pour le fisc. En effet, à partir du lundi 3 juin, ce qu’on appelle “Journée de libération fiscale”, à partir de quoi, jusqu’au 31 décembre, nous travaillons pour satisfaire nos besoins. Le traitement annuel a été effectué par le Bureau d’Etudes de Cgia de Mestre, qui rapporte que cette année le fardeau fiscal fixé à 42,1%, il diminuera de 0,4 point de pourcentage par rapport à l’année dernière, et donc la « Journée de libération fiscale » arrive un jour plus tôt. Malgré ce léger recul, l’Italie reste le cinquième pays européen avec la fiscalité la plus élevée, 2,2 points au-dessus de la moyenne européenne.

Pour de nombreux Italiens, il s’agit d’un objectif important, même s’il est purement symbolique. Qu’il s’agisse de numéros de TVA, de salariés, de retraités ou d’entreprises. En termes purement théoriques, nous travaillerons donc à partir de lundi pour satisfaire nos besoins et non plus pour payer les impôts, taxes, impôts et cotisations sociales attendus en 2024. Une recette qui devrait garantir 909,7 milliards d’euros au trésor. Des ressources indispensables à l’État pour faire fonctionner les écoles, les hôpitaux, les bus, les trains, les bureaux publics et pour payer les retraites, les salaires des fonctionnaires et des employés des collectivités locales. En d’autres termes, c’est de l’argent que les administrations publiques collectent d’abord, puis investissent dans les services, le bien-être, les infrastructures sociales et économiques pour améliorer la qualité de vie de chacun d’entre nous.

Pour ne pas se tromper, précise la note du CGIA, « il est bon de le souligner avec force : même si le « jour de libération fiscale » ne constitue pas un principe absolu, cet exercice démontre empiriquement à quel point la charge fiscale excessive continue de peser sur les Italiens, même si cette année, la pression fiscale est destinée à diminuer de 0,4 point de pourcentage par rapport à 2023. Et grâce à cette contraction, les Italiens pourront célébrer la “journée de libération fiscale” le lundi 3 juin”.

Bref, si depuis début janvier jusqu’à demain nous avons hypothétiquement travaillé pour honorer les demandes fiscales, dès le début de la semaine prochaine jusqu’au 31 décembre, nous le ferons pour nous et nos familles. De ce cas scolaire élaboré par le Bureau d’Etudes du CGIA, il ressort que pour l’année en cours, 154 jours de travail ont été nécessaires (samedi et dimanche inclus) pour honorer tous les paiements d’impôts attendus cette année (Irpef, Imu, TVA, IRAP, IRES , taxes supplémentaires diverses, cotisations de sécurité sociale/assurances, etc.). Par rapport à 2023, cette année, nous sommes “libérés” d’impôts un jour plus tôtmême si selon le calendrier il y en a deux, puisque 2024 est une année bissextile.

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