Essence et diesel, prix en baisse, Figisc-Confcommercio : Espérons que ça dure

Essence et diesel, prix en baisse, Figisc-Confcommercio : Espérons que ça dure
Essence et diesel, prix en baisse, Figisc-Confcommercio : Espérons que ça dure

Eugenio Volpato, président du Figisc-Confcommercio de Vicenza

Si ce mois de juin, qui le 21 avec le solstice nous accompagnera dans la saison estivale, n’a pas été très satisfaisant sur le plan météorologique, il s’avère au moins positif sur le plan des carburants : prix à la pompe, tant pour le libre-service et le libre-service, sont en baisse . Selon les données traitées par Figisc (Fédération italienne des gestionnaires d’installations de carburant routier) – Confcommercio, du 23 avril au 9 juin, le prix moyen national, calculé sur la base du fichier MIMIT des prix journaliers facturés, a baissé entre 6,4 et 6,9 centimes/litre. pour l’essence et entre 10,0 et 10,2 pour le diesel, selon le mode de ravitaillement (en libre-service ou avec service).

Dans le détail, l’essence coûte 0,7 à 1,1 centimes/litre de moins que la moyenne de 2024 qui était de 1,999 euros/litre pour le service et de 1,861 pour soi-même ; quant au diesel, le prix est d’environ 7,7 à 8,0 centimes/litre en dessous des niveaux moyens de 2024, soit 1,919 pour le service et 1,779 pour soi.

L’économie sur un plein d’essence pour une voiture de taille moyenne est donc d’environ 3 euros, quelques euros de plus si la voiture est diesel. Bien entendu, pas de baisse notable, mais au moins un renversement de tendance positif.

Eugenio Volpato, président de la direction des centrales à combustible Figisc-Confcommercio de la province de Vicence, le confirme : « La baisse des prix est en cours et est essentiellement due à la dynamique du marché – explique-t-il -. Le coût du carburant à la pompe reflète avec une forte corrélation directe l’évolution des prix des produits finis, le CIF Méditerranée de Platt, c’est-à-dire la « bourse des carburants ». Outre une offre de produits qui aurait pu dépasser la demande, les statistiques montrent qu’une modulation différente de la marge industrielle brute s’est également produite ces derniers mois. Dans cette dynamique, nous, gestionnaires des centrales pétrolières, dernier maillon de la chaîne, appliquons à la pompe le prix qui nous est indiqué par les compagnies pétrolières, et qui heureusement pour les consommateurs finaux, en cette période, est inférieur à celui du passé. Nous espérons que cela restera ainsi pendant longtemps. »

Le président Volpato précise ensuite que le prix de l’essence dépend à 57,41% des taxes et que celui des taxes sur le diesel en représente 54,33% : « Pour une réduction plus incisive et durable des prix à la pompe – conclut-il -, il suffirait de réduire cette pourcentage, ce qu’aucun gouvernement n’a jusqu’à présent pensé à faire de manière stable”.

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