Daniele Lugli : manifestations, contrôle, répression. Quelle formation pour les forces de l’ordre ? – Periscopionline.it

Chaque jour, les hommes politiques, les sociologues et les économistes citent un « pays réel » fantôme. Pour eux, c’est quelque chose qui importe peu ou rien, qui correspond au « rez-de-chaussée », aux masses, aux gens ordinaires. Le vrai pays n’est donc qu’un brouillard médiatique, une entité démographique vers laquelle se tourner en période électorale.
Mais de quoi et de qui est réellement fait le vrai pays ? Si vous y réfléchissez un instant, le vrai pays, c’est nous, c’est nous pris un par un. L’artiste polonais Piermaria Romani est descendu dans la rue et a imaginé une sorte de recensement. Il a rencontré et illustré le Pays Royal en personne. Des centaines de portraits et des centaines d’histoires.
(Cliquez sur le portrait et agrandissez l’image pour lire le texte)

par Piermaria Romani

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Chers lecteurs,

après plusieurs mois de réflexions, de doutes, d’idées brillantes et de doutes à la manière d’Hamlet, ce que vous trouvez sous vos yeux est le Nouveau Périscope. Très, peut-être trop audacieux, coloré, anticonformiste, différent de tous les autres médias en circulation, en kiosque ou sur le web.

Si vous fréquentez déjà ces pages, si vous les aimez ou du moins êtes curieux Périscope, ses nouveaux graphismes et ses nouveaux contenus vous feront sauter de joie. Il n’existe pas de journal en ligne dans la nature ayant le courage et/ou l’imprudence de critiquer et de renverser l’approche classique de ce sujet. “journal” .

A tel point que certains se demandent si les journaux sont encore utiles, si les journaux ont encore un rôle et un sens. Ils arrivent toujours “après l’actualité”, ils mettent tous le même titre en première page, ils suivent assidûment la pensée unique et le personnage puissant du moment, ils copient en photocopie les rubriques internes habituelles : politique intérieure, affaires étrangères, actualité , économie, sport… Même les mots semblent pleins de poussière, car le langage journalistique, au lieu de s’enrichir, s’est appauvri. Le vocabulaire des journaux enregistre et reproduit celui de la pègre politique et des bavardages télévisés, ou il poursuit en vain le grand nuage confus du web.

Périscope propose une nouvelle façon d’être un journal, de fournir de l’information. s’arrêter Haut Et Bas, pour communiquer avec votre public. Il brise les compartiments étanches des sections de journaux traditionnelles. Elle accueille et reconnaît une égale dignité à tous les genres et à toutes les langues : ainsi au premier plan il peut y avoir une nouvelle, un commentaire, mais aussi un poème ou un dessin animé. Abandonnez la course au scoop, l’interview exclusive, l’illustre signature, en proposant ce que nous appelions « informations verticales »: c’est-à-dire entrer dans « les choses qui se passent à l’extérieur et à l’intérieur de nous », dénoncer L’ancien qui résiste et raconte Le nouveau qui germe ; soyez du côté des droits et dénoncez les inégalités qui se creusent en Italie et dans le monde. Bref : un journal qui ne s’adresse pas à tel ou tel salon, mais véritablement au service de la communauté.

Avec le journal d’hier – disait-on – aujourd’hui “nous emballons notre poisson”. Pas Périscopeson « informations verticales » ne vieillit jamais et à partir de nos archives de 50 000 articles (disponibles gratuitement), du contenu utile est continuellement tiré pour intégrer les derniers communiqués de presse. Vous ne trouverez jamais, comme c’est le cas dans presque tous les journaux en ligne, les trois premières lignes de l’article en texte clair… et une somme modique pour pouvoir lire tout le reste.

Cela ressemble à une phrase rhétorique, mais ce n’est pas le cas : “Périscope c’est un journal sans parrains et sans maîtres ». Nous sommes fièrement antifascistes, pacifistes, non-violentes, féministes, écologistes. Nous croyons en la gauche (même si la gauche ne croit plus en elle-même), mais nous n’appartenons à aucune maison politique, nous ne soutenons aucun parti ni aucun leader. En effet, nous nous méfions des dirigeants et des dirigeants du peuple, même des héros. Nous n’aimons pas les murs, tant matériels qu’immatériels, résultant de préjugés et d’égoïsme. Nous aimons « le peuple » (celui inscrit dans la Constitution) et nous aimerions effacer « la nation », prémisse de toute guerre et de toute violence.

Périscope il s’agit donc d’un journal populaire et non d’un journal national-populaire. Un journal “généraliste”, écrit pour être lu par tous (“ceux qui ont lu des millions de livres ou qui ne savent même pas parler” F. De Gregori), par tous ceux qui cultivent la curiosité, et non par l’élite, par les cercles de professionnels, par les intellectuels du vide et du bavardage.

L’équipe éditoriale et plus de 50 collaborateurs rédigent et emballent Périscope sur une base absolument volontaire ; ils le font parce qu’ils croient au projet du journal et à la valeur des différentes informations. C’est pour cette raison que le journal est soutenu par une association bénévole à but non lucratif. Les lecteurs – sympathisants, font en tous points partie d’une famille volontaire et participative pour garantir une gestion collective et démocratique du journal qui est financé, et donc vit, grâce aux contributions gratuites de ses lecteurs, amis et sympathisants. Accepte et héberge uniquement des sponsors et des annonceurs socialement, éthiquement et culturellement dignes.

Né il y a 10 ans sous le nom Ferrare Italie déjà à vocation glocale, il est aujourd’hui devenu le journal Périscope et navigue déjà en pleine mer, s’adressant à un public national et au-delà. Mais n’oublions pas Ferrare, la ville qui héberge la rédaction et où le journal est produit quotidiennement. Ferraraitalia continue de vivre à Periscopio au sein d’une section spéciale, une partie importante de l’ensemble.

Aujourd’hui, Periscopio compte plus de 320 000 lecteurs, mais il veut grandir et se faire connaître. Cela dépendra de qui l’écrit mais surtout de qui le lit et le partage avec ceux qui ne le connaissent pas encore. Pour une fois, être dans le même bateau peut être une aventure fascinante. Bon surf à tous.

Tout le contenu de Périscopesauf indication expresse, sont gratuit. Ils peuvent être librement imprimés, distribués et republiés, en indiquant la source, l’auteur et la date de publication dans ce journal.

Francesco Monini
Gestionnaire de sites

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