Centre-droit, première réunion post-vote mais les Sardes désertent La Nuova Sardegna

Centre-droit, première réunion post-vote mais les Sardes désertent La Nuova Sardegna
Centre-droit, première réunion post-vote mais les Sardes désertent La Nuova Sardegna

Cagliari Si le centre-gauche ne rit pas, le centre-droit panse toujours ses plaies après la triple défaite aux élections locales de Sassari, Alghero et Cagliari. Une défaite qui fait encore plus mal car elle justifie presque la défaite audacieuse aux régionales. A Oristano, les représentants du centre-droit se sont réunis pour « poser les bases », « s’ouvrir à la société civile », « partir des territoires ». Le secrétaire du Psd’az était absent à la réunion Christian Solinas que dans une note au député bleu Pietro Pittalis conteste la présence à cette séance, convoquée justement pour une première analyse du vote local, de « sujets politiques alignés un peu ici et un peu là ». Je crois que les citoyens d’Alghero, de Sassari et de toute la Sardaigne ne comprendraient pas les images d’une table où s’assoient ensemble des gens qui ont suivi des chemins différents et transforment cette idée politique et cette formule de gouvernement qui, jusqu’à il y a quelque temps, Région et certains centres de l’île dans une sorte de grand hôtel horaire à structures variables”.

Les réformateurs et les membres de la Ligue du Nord, présents à la réunion avec la Sardaigne au centre 20Venti et Fdi, ainsi que Forza Italia, jettent de l’eau sur le feu mais reconnaissent (Pais, Lega) que Solinas « pose un problème sérieux qui mérite d’être discuté. Les Sardes doivent certainement faire partie intégrante du centre-droit.” Aussi Aldo Salaris (Réformateurs) ne semble pas préoccupé par le départ de l’ancien président. «Nous devons préserver et élargir la coalition. Les gestes perturbateurs sont inutiles. Au lieu de cela, nous devons partir des thèmes et donner une vision de la Sardaigne à nos électeurs, sans nous concentrer sur la géométrie des alliances et des structures. Je n’accorderais pas une importance particulière aux dynamiques territoriales, qui ont toujours été là. » (gcen)

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