Revue de presse : “Oui, c’est aussi la faute de Scamacca”

Revue de presse : “Oui, c’est aussi la faute de Scamacca”
Revue de presse : “Oui, c’est aussi la faute de Scamacca”

« Dans le seul éclair, il touche le poteau. Les responsabilités sont aussi les siennes : il ne cherche pas le ballon et ne crée pas d’espaces.”. Signé L’écho de Bergamequi partage dès le lendemain la responsabilité de l’élimination avec la Suisse à l’Euro 2024 à parts égales. Gianluca Scamacca, qui obtient un score complet de 5, n’est pas parmi les pires mais est loin d’être bon. Un demi-point de plus pour Retegui, 4,5 pour Di Lorenzo et l’ancien Mancini (idem l’entraîneur), 5 pour le Romain et les autres visages connus Bastoni et Cristante.

La faute de Scamacca

Un terminus sans alibi, c’est ainsi que le journal de la ville définit la débâcle du Club Italia, qui a conclu la saison allemande sans but d’avant-centre. L’entraîneur Luciano Spalletti n’a pas convaincu avec le contre-bord de la défense à quatre par rapport au match de groupe contre la Croatie qui a été nul par Zaccagni avec les ajouts de Fagioli, Cristante et El Shaarawy qui s’est blessé presque immédiatement. Et Scamacca au poste ne fait aucune différence : le fait que personne ne l’ait servi à l’entraînement, à l’exception de Zaccagni qui s’est imposé pour l’un des deux postes bleus (à un), n’est pas un alibi.

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