“L’amant parfait de Berlusconi, un peu moins son petit-ami”

Silvio Berlusconi a été mon premier homme. J’ai toujours trouvé Berlusconi extraordinaire, merveilleux. Même physiquement. Chacun a ses propres goûts, les miens sont parfaits.” Francesca Pascaleinvité de Belve, dans l’entretien avec Francesca Fagnani répond à une multitude de questions sur sa relation avec Silvio Berlusconi.

“Je lui dois une totale gratitude, pas seulement pour la possibilité qu’il m’a donnée de réaliser mes rêves. Berlusconi était la personne la plus importante. Il était le meilleur ami, le père que j’aurais voulu, l’amant parfait, le petit ami un peu moins.. Il était aussi mon professeur. Je n’ai ressenti la différence d’âge de 49 ans qu’à la fin de notre relation, toujours joyeusement ouverte. Je regardais évidemment son téléphone portable, ses papiers…”, dit-il en souriant.

“Les dîners qu’il décidait de faire, avec ou pas de belles femmes, il les continuait toujours. Malgré ses connaissances, il ne manquait jamais de respect envers moi. Je n’avais pas besoin d’aller ailleurs. Je n’ai jamais caché ma bisexualité à Berlusconi, je ne suis pas devenue lesbienne après… Il a toujours été un grand libéral, il m’a dit que lui aussi était un peu lesbien… Je n’avais pas besoin d’épouser Berlusconi”, ajoute-t-elle. “J’ai essayé de rester proche de lui en essayant d’être moi-même. Étais-je autoritaire ? J’étais un emmerdeur fou et insupportable.”

Nous parlons du début de la datation. Un soir, Pascale reçoit un appel de Berlusconi et pense que c’est une blague. “J’ai dû le rappeler mais je n’avais pas d’argent sur mon portable, je n’avais rien. Je n’avais même pas d’argent sur le portable de ma mère… Je l’ai appelé avec une recharge SOS… J’avais 20 ans. ans, mes parents étaient inquiets et aussi curieux” lorsque la rencontre a commencé. “J’aurais quand même fait ce que je pensais être juste, ils n’auraient pas pu m’arrêter.”

On parle de ‘légendes’ : “C’est pas vrai que j’ai reçu 20 millions d’euros “une fois”, puis un million par mois… tout cela est faux.” Et le letton “mythique” de Poutine ? “Ce n’était pas un vrai letton, c’était un tableau représentant la chambre principale de Poutine. Il n’y avait pas de vrai lit. Est-ce une déception ? Moi aussi…”.

Un regret ? “Je n’ai pas pu lui dire au revoir. Si je pouvais le revoir, je lui ferais un gros câlin.”

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