Monza, la victoire échappe encore : c’est 2-2 contre la Lazio

Monza, la victoire échappe encore : c’est 2-2 contre la Lazio
Monza, la victoire échappe encore : c’est 2-2 contre la Lazio

Monza – Comme un disque rayé, mais ce n’est pas de sa faute. Raffaele Palladino commenter Latium-Monza On pourrait revenir sur les considérations sur les 5 matchs précédents et les relire à la lettre : Monza crée, Monza conclut, Monza marque moins qu’il ne le devrait et en retour les autres passent. La nouveauté de l’apéritif du samedi d’aujourd’hui est que, cette fois, Monza a aussi créé pour les autres qui n’ont pas manqué l’occasion de rendre amer le dernier apéritif. Comme un tirage au sort contre une équipe en bonne santé jouant pour l’accès à Ligue des champions, ça doit être vu avec des yeux de fierté, ça fait presque mal: Palladino et Tudor ils partagent les enjeux (2-2) dans une bataille vécue au bord de l’équilibre, comme déjà démontré Le premier but d’Immobile. L’horloge indique 11 minutes, Ciro, au bord du hors-jeu, répète dans le filet un arrêt sur la barre transversale du gardien de Monza. Une question de centimètres, comme ce sera le cas plus tard.

Les choix des entraîneurs ne sont pas surprenants au départ : ceux qui jouent à domicile visent le fantaisie de Valentin Carboni, ceux qui arrivent de l’extérieur s’appuient sur l’expérience du meilleur buteur de tous les temps, ce qui est une bonne chose. La décision de Tudor de revenir à la demi-heure est toutefois surprenante. Zaccagni réservé en renforçant la défense avec Casale: même s’il était devant, il comprenait que le risque était imminent. Djuric en diagonale il rate le but de quelques centimètres, Valentin fait de même de la tête d’un tir sûr, Bondo répond avec intérêt en envoyant le ballon pour l’égalisation en fin de première mi-temps.

Elle semble hantée. Des parties de Par Grégory c’est désert : La propriété est fermée par Izzo et Pablo Marì qui font désormais office de bouclier pour le gardien de but ; les filets sont plus ouverts de l’autre côté surtout quand Colpani décide de slalomer en ratant de peu le rendez-vous avec le tir, le gardien manquant. Le risque se concrétise cependant dans le dernier quart d’heure.: Mandas s’excite sur la tête d’un Pessina plongeant, Djuric marque dans un tap-in avec le fardeau d’attendre le OK de Lissone : drapeau levé, mais index de Pairetto au milieu de terrain, le but est bon.

Avec le nul, l’inertie est de plus en plus en faveur des joueurs de la Brianza, qui glissent droit au but : dans la formulation défensive à la recherche d’espaces vers l’avant, le malentendu est dans le triangle Donati-Akpa Akpro-Di Gregorio. Parmi eux, Vecino gagne, remercie et transforme le nouvel avantage. Fini? Non. Avec patience et esprit, Palladino réintroduit l’équipement, en hauteur, là où seuls les centimètres – ici aussi – de Djuric peuvent atteindre le cœur de la surface pour envoyer l’égalisation finale dans le but.

La dernière gorgée du match se termine en mêlée car personne n’est pleinement satisfait, à l’exception de la Lazio qui a été rappelée par les supporters sous le groupe extérieur pour une confrontation prolongée. De l’autre côté, il y a des applaudissements et des demi-sourires : Monza n’a pas gagné depuis 6 matchs mais il y a au moins autant de regrets qu’il porte avec lui. Place à Florence, où aura lieu lundi prochain une autre comparaison d’idées innovantes en matière de football. Avec une certitude de plus, pour Palladino : l’homme chargé de transformer les opportunités en buts est désormais véritablement réveillé.

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