Padoue. Arnaque aux bonus de façade, 2,7 millions de crédits d’impôt obtenus pour des travaux jamais réalisés ont été saisis

PADOUE – Arnaque au bonus de façade, saisie de 2,7 millions d’euros. La police financière de Padoue a exécuté une ordonnance de saisie préventive, émise par le Tribunal de…

Déjà abonné ? Connectez-vous ici!

  • tous les articles du site, également depuis l’application
  • Informations et newsletters exclusif
  • LE podcasts de nos signatures

– ou –

Souscrivez à l’abonnement en payant avec Google

S’abonner

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE SPÉCIALE

MENSUEL

4,99 €

1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois

ACTIVER MAINTENANT

Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an

Abonnez-vous avec Google

PADOUE – Arnaque aux bonus de façade, saisie de 2,7 millions d’euros. La police financière de Padoue a procédé à une saisie préventive, émise par le Tribunal de Nocera Inferiore, de crédits d’impôts fictifs, de biens et d’argent contre 13 sous enquêteaccusé d’escroquerie aggravée en vue d’obtenir des fonds publics, de blanchiment d’argent et de recel.

Arnaque aux bonus de façade

Les enquêtes ont impliqué, à divers titres, 15 personnes physiques et 2 sociétés, ayant leur siège social à Milan et dans la province de Salerne. Les financiers ont mené des enquêtes sur les concessions dans le secteur de la construction, notamment le bonus façade qui permettait la déduction fiscale en 10 annuités des dépenses engagées entre 2020 et 2021 à hauteur de 90% (60% en 2022) ou la remise sur la facture ou le transfert du crédit d’impôt à des tiers.

Tout est parti d’une entreprise individuelle basée à Padoue, dirigée par le principal suspect. De là, les financiers ont révélé un mécanisme de fraude mis en œuvre par des entrepreneurs du secteur de la construction : 2,7 millions d’euros de crédits d’impôt inexistants, pour travaux jamais réalisés. Les entreprises contrôlées manquaient de structures, de ressources et de moyens adaptés pour réaliser ces interventions immobilières, qui auraient été réalisées en faveur de plus de 20 personnes physiques résidant dans diverses provinces italiennes et ignorant l’arnaque.

Les crédits fictifs générés sont monétisés depuis plus de 400 mille euros par virement à la Poste Italienne : une partie a été utilisée par l’auteur de la fraude pour acheter un bien, une autre partie a fini sur un compte bancaire à son nom, une troisième partie est allée aux autres suspects.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Le Gazzettino

NEXT Après l’attaque de Mondialpol, le gang s’est caché à Sassari La Nuova Sardegna