Les morceaux tombent, l’ordre arrive : l’Arco Clementino est bouclé

Les morceaux tombent, l’ordre arrive : l’Arco Clementino est bouclé
Les morceaux tombent, l’ordre arrive : l’Arco Clementino est bouclé

ANCONA L’Arco Clementino est fermé aux visiteurs. Après le rapport du Corriere Adriatico faisant état d’un affaissement superficiel, l’Autorité Portuaire a prévu…

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ANCONA L’Arco Clementino est fermé aux visiteurs. Après que le Corriere Adriatico ait signalé un affaissement superficiel, l’Autorité Portuaire a prévu, par mesure de précaution, de boucler le monument, là où les barrières sont apparues hier en début d’après-midi – en accord avec la Surintendance. Une première inspection a été réalisée hier mais la Municipalité en a programmé une deuxième pour lundi, toujours avec l’Autorité Portuaire et la Surintendance. Pas seulement.

Les contrôles

L’Autorité portuaire “réalisera dans les prochains jours une évaluation technique approfondie en collaboration avec une entreprise pour vérifier l’état de conservation de la maçonnerie”, lit-on dans une note. «À partir des résultats de cette analyse, l’Autorité du Système Portuaire évaluera l’intervention nécessaire, toujours en accord avec la Surintendance», poursuit le communiqué. «Nous irons voir ce qui s’est passé, nous essaierons de comprendre», anticipe le conseiller aux travaux publics Stefano Tombolini. La question à résoudre en sera également une autre : qui est responsable de l’Arco Clementino ? À l’heure actuelle, personne ne semble être suffisamment sûr de la réponse pour la publier publiquement. L’emplacement particulier du monument n’aide pas, suggestif pour les photographes et les touristes mais un cauchemar pour tout administrateur ou rouage de la bureaucratie italienne.

Le symbole

Il s’agit d’un bien historique – on pourrait donc penser à la Surintendance – mais situé dans le domaine de compétence de l’Autorité portuaire et propriété de l’Office des Domaines de l’État. Ces dernières données peuvent être extraites du Catalogue 2023 du patrimoine culturel de la Région des Marches, disponible en ligne. Propriété de l’État, mais laquelle ? Étant situé dans la zone portuaire, le risque est en effet qu’il s’agisse d’une propriété maritime de l’État, qui à son tour relève de la juridiction de la municipalité d’Ancône.

Mais une chose est sûre : l’Arco Clementino ne peut pas rester ainsi. En plus d’être un danger possible pour ceux qui y passent – ou y restent, comme dans le cas des sans-abri – ce n’est même pas joli à voir. Pas la meilleure carte de visite pour une ville qui voit son principal bassin touristique dans son port.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Courrier Adriatique

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