Fonction publique de Caritas Reggio Calabria, une autre année terminée

Du 13 au 15 mai, l’Hôtel Casa Rossa de Crotone a accueilli le cours de fin de service pour les jeunes du service civil de la Caritas diocésaine : « Contrairement au cours de début et de mi-service, ces journées nous ont donné l’occasion de réfléchir et d’intérioriser améliorer notre expérience au cours des douze mois de service”, disent les protagonistes qui ont accompli leur service dans le diocèse de Reggio de Calabre. Dans cet article leurs témoignages.

Service public universel chez Caritas, une autre année terminée : il est temps de faire le point pour les enfants de Reggio de Calabre

Au début, nous nous sommes rencontrés en groupe, réfléchissant ensemble à combien ces douze mois nous ont transformés, à quel point nous avons remarqué le changement chez les autres et à quel point les autres ont remarqué notre changement.


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Le lendemain, partant d’un bref moment de désert, nous avons commencé un bilan personnel, en essayant de « donner de la couleur » à notre année. Mais dans l’après-midi, chacun de nous a eu l’occasion de parler de son expérience de la fonction publique, avec tous les hauts et les bas, les moments qui se sont bien passés et ceux qui se sont moins bien passés, les rencontres marquantes qui ont marqué et qui ont donné une nouvelle direction à nos vies.


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Le dernier jour a été le moment de la vérification diocésaine, qui nous a permis de constater que la force du service public est précisément celle de marcher ensemble, sans laisser personne de côté. Il y a eu des jours où nous avons pu faire le point, comprendre comment nous avons progressé jusqu’à présent et avec qui, des jours où nous avons pu nous arrêter et comprendre que la Fonction Publique ne se termine que par un contrat, mais en réalité cela commence maintenant, car tout ce que nous avons vécu et vécu porte ses fruits au quotidien.

Un voyage terminé trop tôt… Voici ce qui reste

Quand on commence son service civil, on a le sentiment qu’il ne finira jamais, le premier jour de service semble être très loin d’être le dernier, et en revanche en un instant, dès le début du cours de service à Cetraro, nous nous sommes retrouvés à la fin. de cours de service à Crotone, chacun différent de ce qu’il était.

Ce que ce cours nous a laissé, c’est la conscience que les rencontres de cette année, avec les pauvres, avec les enfants en situation difficile, avec les migrants, ont détruit et recomposé nos cœurs, nous ouvrant les yeux sur le fait que le battement du cœur n’est pas un mouvement. par inertie mais un exercice à réaliser quotidiennement. À la fin de cette année, malgré toutes les difficultés que chacun de nous a rencontrées, il reste le sens de la beauté qu’il faut cultiver et préserver chez ces personnes et dans ces lieux qui semblent – en apparence seulement – sans espoir.


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Il reste un sentiment de gratitude envers tous nos formateurs, qui ont été des guides et des gardiens silencieux non seulement de notre service, mais aussi de notre peuple ; observateurs attentifs de nos meilleurs moments et de nos plus fatiguants. Aux collègues compagnons de voyage avec qui nous partagions le sac à dos lorsqu’il devenait trop lourd, et aux amis qui se tournaient vers nos centres, qui faisaient battre notre cœur. Et enfin, grâce à la Caritas diocésaine et au Service Civil Universel, sans lesquels nos yeux seraient un peu plus ternes et nos vies un peu plus vides.

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