Ajouts pour réduire les listes d’attente, nouveau règlement

Il y a quelques jours, l’Asrem a approuvé, avec une résolution du directeur général Giovanni Di Santo, le nouveau règlement d’entreprise relatif à la réglementation des services complémentaires de gestion de la fonction sanitaire.
Le document a également été signé par les organisations syndicales.
Il s’agit de services complémentaires à l’activité institutionnelle ordinaire demandés par l’Entreprise à ses salariés afin de réduire les listes d’attente et de faire face à la nécessité d’une augmentation temporaire d’activité, ou en présence de pénurie et d’impossibilité de personnel médical et soignant. , même temporaire, de pourvoir les postes concernés avec du personnel en possession des exigences légales, ce qui ne permet pas d’assurer les niveaux essentiels de fonctionnalité des services.
La nécessité d’actualiser les règles précédemment en vigueur est née de l’application de la nouvelle convention collective nationale de travail dans le domaine de la santé et notamment de la disposition relative à la fixation d’un plafond de dépenses pour 2024 par rapport aux coûts supportés en 2021 également. comme l’actualité relative aux horaires de travail.
L’activité complémentaire, lit-on dans le document, ne peut être exercée qu’au sein de la discipline d’affectation (même dans une préfecture territoriale différente) ou dans des disciplines équivalentes. Les cadres médicaux et vétérinaires ainsi que les responsables de fonctions de santé en poste à titre permanent ou à durée déterminée peuvent participer à l’activité complémentaire. Ils doivent cependant entretenir une relation à temps plein et avoir opté pour le régime de l’exclusivité. Et, en outre, être exempté d’inaptitude même temporaire aux fonctions exercées sur une base institutionnelle et ne pas avoir bénéficié au cours du mois de référence de réductions du temps de travail pour quelque raison que ce soit (loi 104, droit de maternité ou de paternité, mandat politique).
Quant à l’intramoenia, le règlement précise que les prestations complémentaires ne doivent pas créer de situations qui portent atteinte à l’exercice normal de l’activité institutionnelle, que le salarié doit garantir en priorité. Enfin, “compte tenu de la persistance de listes d’attente qui dépassent continuellement les délais fixés par la législation régionale, l’activité complémentaire est à considérer, à titre préventif, comme prioritaire par rapport au reste de l’activité professionnelle indépendante intra-muros”.

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