Usines à diplômes, contrôles dans 70 écoles : révocation de l’égalité pour 47

Usines à diplômes, contrôles dans 70 écoles : révocation de l’égalité pour 47
Usines à diplômes, contrôles dans 70 écoles : révocation de l’égalité pour 47

Rome, le 18 juin. (askanews) – Le plan extraordinaire de supervision des « usines à diplômes » promu par le MIM en novembre dernier a été conclu. Les contrôles ont concerné 70 écoles secondaires privées des régions de Campanie, du Latium et de Sicile. Pour 47 d’entre eux, les directions régionales d’école, compétentes en la matière, ont déjà entamé les procédures de révocation de la parité, dans le respect des règles de contre-interrogatoire.

Les écoles soumises à l’inspection ont été identifiées parmi celles dans lesquelles le phénomène d’augmentation anormale des élèves inscrits dans les classes terminales par rapport à un petit nombre d’élèves fréquentant les classes initiales était le plus évident au cours des années scolaires précédentes.

Le plan de supervision prévoyait la création de 71 commissions d’inspection, composées de responsables techniques de toute l’administration centrale et périphérique, qui opéraient sur la base d’un protocole de visite défini au niveau national.

Les résultats de l’inspection ont mis en évidence un large éventail d’irrégularités qui ont été examinées par les directions scolaires régionales de Campanie, du Latium et de la Région Sicile, organismes responsables de la reconnaissance de l’égalité éducative dans les trois régions concernées par le plan de surveillance.

En outre, dans une série de cas, les commissions d’inspection ont encouragé la déclaration à la Guardia di Finanza, également grâce au protocole d’accord signé par le ministère de l’Éducation et du Mérite avec le commandement général, et au ministère public pour les profils de compétence. enquête. Parmi les irrégularités les plus graves et les plus significatives ressorties du plan d’inspection : nombre insuffisant de salles de classe pour accueillir toutes les classes activées et/ou mobilier insuffisant par rapport aux élèves inscrits ; non-respect des horaires des disciplines des domaines d’études et dans certains cas suppression totale de certaines disciplines ; manque de laboratoires, d’entreprise agricole dans le parcours technique agricole, de cuisines et de produits alimentaires dans les parcours oenogastronomiques ; absence de programme d’éducation civique.

Et aussi le fonctionnement de plusieurs cinquièmes classes collatérales avec un taux élevé d’élèves résidant hors région (jusqu’à 90%) dont le domicile à proximité de l’école n’est pas déclaré aux fins de fréquentation scolaire régulière ; des personnels enseignants sans qualification ni même diplôme d’entrée à l’enseignement des disciplines ; les écarts dans les heures de service indiquées dans les contrats individuels de travail par rapport à la performance de travail résultant des documents d’affectation de classe ; manquement grave aux dispositions en vigueur concernant les examens d’aptitude et les examens complémentaires ; des lacunes et des incohérences dans la tenue des registres papier et électroniques qui compromettent la véracité de ce qui est certifié.

Outre les contrôles du plan de surveillance, le ministre a également promu d’importantes initiatives réglementaires visant à lutter de manière encore plus efficace contre les irrégularités résultant des actions de contrôle en cours. Il s’agit, entre autres, de l’obligation du registre électronique, des limites à l’établissement de classes collatérales et des règles pour passer des examens sur plusieurs années scolaires en même temps.

Les nouvelles mesures ont été approuvées en Conseil des ministres dans le cadre du projet de loi de simplifications. Le projet de loi est prochainement présenté aux Chambres et sera approuvé, selon les dispositions du Pnrr, d’ici la fin de cette année.

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