Gela et Caltanissetta au vote, la CGIL prête au dialogue avec les futures administrations

Gela et Caltanissetta au vote, la CGIL prête au dialogue avec les futures administrations
Gela et Caltanissetta au vote, la CGIL prête au dialogue avec les futures administrations







Politique

C’est un moment difficile et fondamental

“Le second tour des élections des dimanche 23 et lundi 24 juin constitue un moment essentiel pour les villes de Caltanissetta et Gela. D’autre part, comme le montre la tension qui est perçue, notamment dans la communication, dans les commentaires, exaspéré par la outils médiatiques, une question se pose : les citoyens, et non les citoyens virtuels ou enfermés sur les réseaux sociaux, ont-ils pleinement conscience du moment difficile et fondamental qui nous attend ? C’est ce qu’affirme la secrétaire générale de la CGIL, Rosanna Moncada, dans une note.
“Il ne s’agit pas de se limiter au reportage consciencieux du moment électoral et à l’invitation à voter, au nom de notre Constitution démocratique et antifasciste. Il s’agit bien de braquer les projecteurs sur le “véritable” Les événements qui nous attendent, annoncés par un financement de plusieurs millions de dollars de la part du PNRR tant évoqué, semblent indiquer le risque d’attirer l’attention des groupes de pouvoir, même les plus cachés et silencieux. En fait, cela ne semble pas être une coïncidence. ces dernières semaines, le sujet a été soulevé par les administrations sortantes – et les anciennes et les nouvelles, en particulier les dernières, partisans, officiels et autres, de celles-ci – étaient d’indiquer la quantité de millions plutôt que de représenter, de partager, non seulement état, les projets en amont des ressources, sollicitées à l’époque, l’état actuel de leur élaboration donc pouvoir comprendre, tous les citoyens, tous les représentants sociaux, les conditions actuelles de faisabilité, de faisabilité, d’exploitation, de « grounding », comme ils disent.
En voulant tourner notre attention vers le monde réel, nous ne pouvons échapper à la dure réalité qui caractérise aujourd’hui notre Province. La précarité sociale est importante, tout comme la question du travail inexistant ou précaire, notamment pour les jeunes générations et les femmes. L’état des systèmes de protection sociale est déficitaire. Le système de santé incomplet et non fonctionnel : la question de la proximité est méconnue. La machine administrative et opérationnelle de la Commune marque chaque jour ses limites au-delà des processus de numérisation des procédures, proclamés mais non perçus : voir le cas du bureau des impôts de Caltanissetta qui, en simplifiant, finit par être laissé sur les épaules des autorités municipales. travailleurs plutôt que sur le déficit de programmation et de gestion de la haute direction de l’administration municipale.
Comme la CGIL de Caltanissetta, qui s’est toujours engagée dans la protection et la représentation des droits des travailleurs, en commençant par les plus faibles et les plus sans défense, dans la recherche d’une discussion, bien que dialectique, avec les représentants institutionnels dans le but de se concentrer sur l’innovation et le changement – besoins et objectifs liés, nous démontrons nos préoccupations avec conviction et en même temps nous réitérons notre engagement à rechercher tous les instruments de changement, pour sortir de la situation étouffante actuelle. D’un autre côté, il ne faut pas sous-estimer la manière dont ce qui se passe dans notre Province interagit pleinement avec les événements nationaux et les choix du gouvernement national et des forces majoritaires. L’approbation de “l’autonomie différenciée” ravive tous les doutes sur l’attention effective et effective du gouvernement Meloni et de ses alliés aux besoins du Sud. Meloni revendique la “croissance” des données de productivité et de bien-être du Sud mais oublie délibérément. préciser comment ces données dérivent des effets des processus de solidarité sociale activés ces dernières années, le plus récemment le revenu minimum, qui, au-delà des nombreuses inefficacités et erreurs, a permis des ressources pour les partenaires sociaux les plus faibles. Ce sont ces fonds annulés par Meloni. À Caltanissetta comme à Gela, cependant, nous ne sommes pas confrontés à un choix de sympathie, d’empathie ou même d’idéologie, prodigué en catimini par de nombreux initiés politiques, entre les deux candidats en lice pour le second tour. Le carrefour est clair : ne pas choisir signifierait ne pas décider, comme si nous étions face à un carrefour routier, nous ne décidions pas notre direction et restions donc immobiles ou nous nous écrasions. Au prochain carrefour, nous devrons choisir avec détermination le changement, la passion et l’intelligence politique. Avec un engagement que nous réitérons encore aujourd’hui : la prochaine administration trouvera dans la CGIL un interlocuteur attentif et disponible mais attentif dans l’intérêt de la légalité et des bonnes actions qui doivent être mises en œuvre”

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Gela et Caltanissetta au vote, la CGIL prête au dialogue avec les futures administrations

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“Le second tour des élections du dimanche 23 et du lundi 24 juin constitue un moment essentiel pour les villes de Caltanissetta et Gela. D’autre part, comme le montre la tension qui est perçue, notamment dans la communication, dans les commentaires, exaspérés par la outils médiatiques, une question se pose : les citoyens, et non les citoyens virtuels ou enfermés sur les réseaux sociaux, ont-ils pleinement conscience du moment difficile et fondamental qui nous attend ? C’est ce qu’affirme la secrétaire générale de la CGIL, Rosanna Moncada, dans une note.

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“Il ne s’agit pas de se limiter au reportage consciencieux du moment électoral et à l’invitation à voter, au nom de notre Constitution démocratique et antifasciste. Il s’agit bien de braquer les projecteurs sur le “véritable” Les événements qui nous attendent, annoncés par un financement de plusieurs millions de dollars de la part du PNRR tant évoqué, semblent indiquer le risque d’attirer l’attention des groupes de pouvoir, même les plus cachés et silencieux. En fait, cela ne semble pas être une coïncidence. ces dernières semaines, le sujet a été soulevé par les administrations sortantes – et les anciennes et les nouvelles, en particulier les dernières, partisans, officiels et autres, de celles-ci – étaient d’indiquer la quantité de millions plutôt que de représenter, de partager, non seulement état, les projets en amont des ressources, sollicitées à l’époque, l’état actuel de leur élaboration donc pouvoir comprendre, tous les citoyens, tous les représentants sociaux, les conditions actuelles de faisabilité, de faisabilité, d’exploitation, de « grounding », comme ils disent.

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En voulant tourner notre attention vers le monde réel, nous ne pouvons échapper à la dure réalité qui caractérise aujourd’hui notre Province. La précarité sociale est importante, tout comme la question du travail inexistant ou précaire, notamment pour les jeunes générations et les femmes. L’état des systèmes de protection sociale est déficitaire. Le système de santé incomplet et non fonctionnel : la question de la proximité est méconnue. La machine administrative et opérationnelle de la Commune marque chaque jour ses limites au-delà des processus de numérisation des procédures, proclamés mais non perçus : voir le cas du bureau des impôts de Caltanissetta qui, en simplifiant, finit par être laissé sur les épaules des autorités municipales. travailleurs plutôt que sur le déficit de programmation et de gestion de la haute direction de l’administration municipale.

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Comme la CGIL de Caltanissetta, qui s’est toujours engagée dans la protection et la représentation des droits des travailleurs, en commençant par les plus faibles et les plus sans défense, dans la recherche d’une discussion, bien que dialectique, avec les représentants institutionnels dans le but de se concentrer sur l’innovation et le changement – besoins et objectifs liés, nous démontrons nos préoccupations avec conviction et en même temps nous réitérons notre engagement à rechercher tous les instruments de changement, pour sortir de la situation étouffante actuelle. D’un autre côté, il ne faut pas sous-estimer la manière dont ce qui se passe dans notre Province interagit pleinement avec les événements nationaux et les choix du gouvernement national et des forces majoritaires. L’approbation de “l’autonomie différenciée” ravive tous les doutes sur l’attention effective et effective du gouvernement Meloni et de ses alliés aux besoins du Sud. Meloni revendique la “croissance” des données de productivité et de bien-être du Sud mais oublie délibérément. préciser comment ces données dérivent des effets des processus de solidarité sociale activés ces dernières années, le plus récemment le revenu minimum, qui, au-delà des nombreuses inefficacités et erreurs, a permis des ressources pour les partenaires sociaux les plus faibles. Ce sont ces fonds annulés par Meloni. À Caltanissetta comme à Gela, cependant, nous ne sommes pas confrontés à un choix de sympathie, d’empathie ou même d’idéologie, prodigué en catimini par de nombreux initiés politiques, entre les deux candidats en lice pour le second tour. Le carrefour est clair : ne pas choisir signifierait ne pas décider, comme si nous étions face à un carrefour routier, nous ne décidions pas notre direction et restions donc immobiles ou nous nous écrasions. Au prochain carrefour, nous devrons choisir avec détermination le changement, la passion et l’intelligence politique. Avec un engagement que nous réitérons encore aujourd’hui : la prochaine administration trouvera dans la CGIL un interlocuteur attentif et disponible mais attentif dans l’intérêt de la légalité et des bonnes actions qui doivent être mises en œuvre”

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