Salerne, des carabiniers battus à un poste de contrôle par une femme et son proche

Encore une autre attaque contre les soldats des Carabiniers, encore un autre épisode qui braque une fois de plus les projecteurs sur une zone de la ville de Salerne déjà…

Déjà abonné ? Connectez-vous ici!

  • tous les articles du site, également depuis l’application
  • Informations et newsletters exclusif
  • LE podcasts de nos signatures

– ou –

Souscrivez à l’abonnement en payant avec Google

S’abonner

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE SPÉCIALE

MENSUEL

4,99 €

1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois

CHOISISSEZ MAINTENANT

Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an

Abonnez-vous avec Google

Encore une autre attaque contre Soldats de l’arméeun énième épisode qui braque une nouvelle fois les projecteurs sur un domaine du ville de Salerne a déjà fait l’objet d’une attention particulière et sur lequel beaucoup avaient activé l’alarme de sécurité ces derniers mois. Signaler les dégâts (physiques) signalés et ce qui est arrivé aux trois carabiniers intervenus dans l’incident. Quartier Matierno il y a pensé Nouveau syndicat de police. L’épisode – qui a ensuite conduit à l’arrestation d’une femme – remonte à dimanche lorsque « la police de unité radio opérationnelle et mobile de la société Salerne ils ont arrêté – lit-on dans la note – une femme pour résistance à un agent public, puisque celui-ci, selon la reconstitution de la police judiciaire, à bord d’un scooter, sans assurance, après s’être enfui, a attaqué les militaires qui opéraient pour éviter les contrôles”. . Pour prêter main-forte à la femme lors des contrôles, un proche de cette dernière (IA) déjà connu de la police, qui a ensuite été dénoncé en liberté, est également arrivé. En fait, l’homme semble avoir également participé à une autre attaque en février contre des policiers et des carabiniers à Matierno. En février, l’intervention de la police a été nécessaire à la suite d’une dispute qui a donné lieu à une fusillade qui a blessé le propriétaire d’un bar.

LA PLAINTE

«Les événements se sont produits à Matierno contre trois collègues coupables d’avoir fait leur travail – écrivent-ils du syndicat des Carabiniers en rembobinant la bande de l’épisode – Lors du contrôle, en effet, la femme s’est mise en colère, attirant l’attention de certains personnages qui, profitant de la situation, sont descendus dans la rue et ont commencé à donner libre cours à leurs instincts primordiaux, contrecarrant le travail de leurs collègues et causant des blessures jugées guérissables en 30 jours. Seul le grand professionnalisme des militaires a permis d’éviter le pire et de garantir le résultat de l’intervention, avec l’aide d’autres équipages qui se sont précipités pour aider.” Pour le nouveau syndicat des Carabiniers « il est temps d’en dire assez sur ces ignobles attaques et le silence de la partie saine de la population du quartier Matierno est embarrassant et, plus incroyable encore, le silence de la politique locale. Pas même une intervention en signe de solidarité en faveur des collègues blessés. Le NSC exprime sa solidarité et sa proximité avec les trois collègues blessés et espère que les autorités chargées de garantir l’ordre public et la sécurité à Salerne en général et dans le quartier de Matierno en particulier prendront conscience de ce qui se passe dans la ville et mettront en œuvre toutes les mesures légales signifie rétablir la légalité et donner un signe tangible à la partie saine de la population de la présence de l’État”.

LA PRÉCÉDENTE

Deuxième attaque – donc – pour les forces de police appelées à un engagement constant pour garantir la sécurité de tous les citoyens. Même quartier, mêmes protagonistes d’épisodes criminels sur lesquels le syndicat demande des réflexions plus approfondies et urgentes. Dans le premier épisode (février), huit officiers et soldats ont été blessés lors des opérations de contrôle à Matierno, après la fusillade au bar sur la via degli Etruschi ce qui a entraîné la blessure d’un homme de 73 ans.

Les agents de la Flying Squad et les Carabinieri de la compagnie Salerno (dirigés par le major Antonio Corvino, parmi les blessés avec son adjoint lieutenant Gianluca Girardo) avait entamé une série de contrôles après les rapports des citoyens le soir même. Les premiers à être soumis aux contrôles furent un père et son fils – personnages déjà connus de la police – qui ensuite, agacés par la présence des forces de l’ordre, injurièrent les hommes en uniforme, les blessant. Le même “père” qui est redevenu dimanche le protagoniste de l’attaque contre les trois carabiniers.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Le matin

X

PREV L’évaluation de l’impact sanitaire et l’avenir d’Ilva à Tarente
NEXT Le football entre branding territorial et géopolitique