“Ce n’était pas un accident, il y en a qui devront répondre”

VENISE – «Maintenant, nous pouvons le dire : du point de vue…

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VENISE – « Maintenant on peut le dire : d’un point de vue technique le massacre de bus du 3 octobre Mestre ce n’était pas une fatalité tragique. La parole est l’avocate vénitienne Silvia Trevisan, du cabinet Scibilia, avocate civile de l’Allemand Nico Volkman et de son épouse. Les deux hommes, grièvement blessés dans l’accident, avaient surtout perdu ce jour-là Charlotte, leur fille qui n’avait qu’un an et demi. «Il y a des aspects de négligence que nous devrons maintenant approfondir – continue l’avocat – Le procureur Placido Migliorina identifie en outre une cause déterminante en l’absence de garde-fous à ce stade. Nous savons désormais, je le répète, qu’il ne s’agit pas d’une fatalité tragique et que ce qui s’est passé n’est pas imputable à un moment de distraction de la part du conducteur.”

Le groupe Giesse qui assiste deux familles ukrainiennes de Kherson et trois du Donbass s’est également prononcé sur le résultat des évaluations et sur les déclarations du procureur Bruno Cherchi. «Nous avons écouté attentivement les paroles du procureur général Bruno Cherchi – explique le chef de Giesse Massimo Gottardo – Dans le cas où les ruptures mécaniques de l’axe et de l’articulation seraient confirmées au sein du système qui relie la direction aux roues, un autre une preuve de la responsabilité de l’entreprise propriétaire du véhicule qui, sur le plan civil, doit également être tenue responsable des défauts de construction et des défauts d’entretien. Une autre question concerne la barrière de sécurité sur laquelle il appartiendra au parquet d’évaluer toute responsabilité pénale. Certes, ces rapports préliminaires du procureur démontrent le travail minutieux effectué par les enquêteurs dans une situation rendue compliquée par l’état du véhicule qui est tombé d’un pont de plusieurs mètres de haut puis a pris feu”.

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