nager en ville est impossible La mer Tyrrhénienne

PELOUSE. Un autre été sans piscine et un avenir plein d’inconnues. L’histoire récente de la piscine de via Roma est faite de chantiers, de ballons arrachés par le vent, de retards, de dérogations, de polémiques et d’une interdiction au public qui pourrait durer des années pour la piscine de 50 mètres. Si l’on ajoute à cela que personne ne peut encore dire si au moins la petite piscine, celle de 25 mètres, ouvrira les week-ends à venir, le tableau est complet.

De nos jours, pour passer une journée à la piscine, il faut changer de ville. La dernière polémique remonte à fin avril, lorsqu’un reportage télévisé a documenté l’état des chantiers de construction de la structure de la Via Roma et déclenché des réactions de la part de tous les partis politiques candidats aux élections municipales. Aujourd’hui, les travaux sur les piscines pour enfants sont terminés, mais les tests manquent encore, tout comme les travaux d’entretien au premier étage de la structure sont terminés, tandis que le chantier de construction de la piscine de réhabilitation est au point mort depuis un certain temps. et les travaux d’entretien du sol doivent également être complétés. La question centrale a cependant toujours été la piscine olympique de 50 mètres et le calendrier des interventions nécessaires pour la rendre à nouveau accessible au public, après sa fermeture l’année dernière.

Il faudrait huit à douze mois pour remettre en état la surface de la piscine : un délai qui obligerait cependant les clubs sportifs qui l’utilisent exceptionnellement à trouver une autre solution. Et c’est une éventualité dont ils ne veulent même pas entendre parler, car celui de via Roma est le seul de la ville à posséder les caractéristiques adaptées au water-polo et à la natation synchronisée. Les assurances reçues des deux candidats à la mairie étaient plus ou moins les mêmes. Une solution de pont, “un plan de maintien complet qui n’émeut personne et garantit la dignité à nos champions”, a déclaré la future maire Ilaria Bugetti. En attendant le nouveau stade de natation d’Iolo : une piscine couverte de 51 mètres et demi de long et dix couloirs, avec une salle de gymnastique, de grandes tribunes, des vestiaires, une infirmerie et des normes élevées de construction et de durabilité. Financée avec 6,5 millions du Pnrr, auxquels la Commune en ajoutera plus de neuf, elle doit être achevée d’ici 2026 et deviendra la troisième plus grande usine de Toscane.

En attendant, la piscine de 50 mètres de la Via Roma restera utilisable uniquement par les clubs sportifs, comme c’est le cas jusqu’à présent. Une perspective qui laisserait le fardeau du service au reste des citoyens uniquement dans le plus petit pool. Mais au moins pour cette année, il semble y avoir ici aussi très peu de certitudes. En effet, le Centre de Formation Sportive de la Jeunesse (Cgfs), gestionnaire de la piscine de la Via Roma, ne peut pas dire ce qui se passera dans les prochaines semaines. Ils discutent encore avec la Municipalité pour savoir si et comment ouvrir la piscine courte également le week-end, en garantissant les services nécessaires au public (vestiaires, bars) et un mode d’utilisation qui ne peut être différent de celui adopté à l’été 2023.

Le petit bassin, jusqu’à présent ouvert à la baignade gratuite quelques heures par jour en semaine, ne peut en effet accueillir que 150 personnes et donc l’entrée à l’établissement le samedi et le dimanche devrait nécessairement être limitée.

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