Est de Naples, frais des fêtes populaires dans les paroisses : appel de la municipalité

Est de Naples, frais des fêtes populaires dans les paroisses : appel de la municipalité
Est de Naples, frais des fêtes populaires dans les paroisses : appel de la municipalité

Les anciennes fêtes populaires de Barra, Ponticelli et San Giovanni a Teduccio, dans la zone orientale de Naples, risque de devoir supporter les coûts du travail de la police municipale lors des nombreux événements organisés à l’occasion de célébrations et de traditions religieuses. La municipalité de Naples Est tente de « sauver » les anniversaires en reconnaissant leur intérêt public et en demandant au conseil municipal de les protéger.

Il s’agit notamment des célébrations dédiées à Sainte Anne à Barra, à Madone de la Neige à Ponticelli et autres Saint Jean-Baptiste à San Giovanni à Teduccio, “des anniversaires particulièrement sincères et appréciés par la population”, lit-on dans la résolution du Conseil de la VIe Commune qui a été approuvée à l’unanimité ce matin. L’épineuse question concerne spécifiquement le paiement des opérateurs la police locale qui interviennent pour assurer la sécurité des événements liés aux trois fêtes religieuses très populaires.

En effet, selon le règlement récemment approuvé par Palais San Giacomo – ce qui exclut les frais liés aux événements d’importance religieuse et aux célébrations patronales – le paiement incombe aux organisateurs privés sauf s’il s’agit d'”événements et d’initiatives”. […] organisés ou promus par des particuliers, des associations, des fondations et/ou des entités à but non lucratif pour promouvoir et valoriser le patrimoine historique, artistique et culturel et/ou le territoire et ses traditions […] dont les municipalités ont reconnu l’intérêt public”. Il peut s’agir d’événements qui n’ont aucune influence sur le la circulation des véhicules et ceux qui, ayant un caractère local, ont un impact minime sur la circulation normale des véhicules.

«Je trouve sincèrement curieux que nous devions intervenir par une résolution pour que les curés n’aient pas à payer pour les services de la police municipale: des partis avec des événements collatéraux, auxquels l’administration offre également un soutien direct ou indirect, évidemment sans profit», souligne Sandro Fucitoprésident de la VIe Commune de Naples, qui précise : « Même en considérant la religion comme quelque chose de très différent de l’administration publique, je crois que le Conseil a bien fait de définir la participation populaire, l’intérêt actif de milliers de personnes, comme étant dans l’intérêt public. ».

Le Parlement de Naples Est a décidé de reconnaître l’intérêt public également à tous les événements liés aux célébrations religieuses des trois quartiers qui valorisent la tradition locale et le patrimoine historique, artistique et culturel de toute la ville. De même, les représentants du corps de quartier ont demandé au conseil présidé par Gaetano Manfredi pour protéger tous les événements qui ont lieu à de telles occasions pendant la période estivale.

«Avec l’esprit proactif envers cette reconnaissance évidente, j’ai proposé un amendement à la résolution dans lequel toutes les réalités paroissiales dele territoire municipal le même traitement lorsque les paroisses elles-mêmes le demandent à la municipalité et aux offices lorsqu’elles doivent célébrer leurs fêtes patronales dont nous nous souvenons toujours qu’elles sont un moment d’union, d’agrégation et de partage pour chaque communauté”, souligne Olivieri généreuxconseiller municipal du groupe Napoli Libera.

«La résolution souligne l’intérêt public particulier de quelques manifestations religieuses sur notre territoire qui ont assumé, au fil du temps, un moyen important de promotion de notre patrimoine culturel et, de plus, déterminent quelles sont les fêtes religieuses de notre territoire qui sont exemptées de telles dépenses”, explique le conseiller municipal Stefano Marzaticogroupe Maresca, qui insiste : « De cette façon, sont également éliminées les interprétations imaginaires d’événements, parfois improvisés, qui prétendent être qualifiés de fêtes patronales mais qui en réalité ne le sont pas : qu’il soit clair que ce sont toujours les institutions religieuses qui déterminer si les événements prennent ou non cette forme.

La question des charges qui pèsent sur les épaules des paroisses a été portée à l’attention du maire et des conseillers lors du dernier conseil municipal grâce à l’intervention de Gaetano Nino Simeoneconseiller du groupe mixte, qui a souligné la nécessité d’exonérer les événements inclus dans l’ensemble du programme des fêtes religieuses du paiement du service de police local et a demandé au conseil de Palais San Giacomo répondre aux paroisses comme le demande également le Curie.

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