Abramo Customer Care, les travailleurs n’abandonnent pas : 1000 familles à sauver

Abramo Customer Care, les travailleurs n’abandonnent pas : 1000 familles à sauver
Abramo Customer Care, les travailleurs n’abandonnent pas : 1000 familles à sauver

Dans une région comme la Calabre, avec une économie asphyxiée et un taux de chômage alarmant (environ 47 %), un millier de travailleurs menacés de licenciement représentent un échantillon inquiétant. Nous parlons du conflit qui voit malheureusement leService client Abraham, une entreprise avec des bureaux à Catanzaro, Cosenza et Crotone, en chute libre depuis un certain temps en raison de la crise du secteur des centres d’appels et de la fin des commandes. Les travailleurs vivent au bord du précipice depuis des années et, ces derniers jours, ils élèvent la voix pour tenter d’attirer l’attention des politiciens nationaux et locaux sur leur cas. Environ 400 personnes ont manifesté ces derniers jours à Catanzaro, tandis que 200 sont en assemblée permanente dans la salle du conseil municipal de Crotone.

La demande porte sur la convocation d’une table de crise au ministère du Commerce, compte tenu de l’expiration du contrat Tim le 30 juin et des incertitudes concernant la vente d’une unité commerciale. La demande des manifestants est un appel aux armes de la part de la politique calabraise, nationale et locale, pour qu’elle agisse pour défendre l’emploi. La position adoptée par les maires de Catanzaro, Cosenza et Crotone va dans ce sens, qui dans une note commune ont exprimé « leur inquiétude et leur proximité avec les salariés, assurant leur plein soutien à l’action des syndicats engagés dans le domaine pour revendiquer les droits à la préservation des emplois”.

Le président de la Région, Roberto Occhiuto, s’est également exprimé sur le sujet. « J’ai des conversations presque quotidiennes avec Tim et des personnalités gouvernementales », a-t-il déclaré. Je crois qu’il pourrait y avoir une courte prolongation pour éviter qu’il n’y ait une solution à la relation de ces travailleurs, mais il y a encore du travail à faire pour trouver une solution qui garantisse structurellement aux travailleurs d’envisager l’avenir avec plus de sérénité qu’ils ne l’étaient auparavant. capable de le faire dans la «dernière période».

L’écheveau est donc difficile à démêler. Les travailleurs désespérés qui risquent le chômage restent sur le terrain, et ne lâchent rien, face à une politique qui doit désormais faire preuve de toute la force et de la sagacité nécessaires pour sauver 1000 familles du désespoir.

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