Pesaro, Biancani arrête la polémique sur les trafiquants: «Le droit exploite, mais ceux qui arrivent risquent de tomber dans la pègre» – News Pesaro – CentroPagina

Pesaro, Biancani arrête la polémique sur les trafiquants: «Le droit exploite, mais ceux qui arrivent risquent de tomber dans la pègre» – News Pesaro – CentroPagina
Pesaro, Biancani arrête la polémique sur les trafiquants: «Le droit exploite, mais ceux qui arrivent risquent de tomber dans la pègre» – News Pesaro – CentroPagina

PESARO – Trafic de drogue à Miralfiore et controverse. Le maire Andrea Biancani répond aux attaques de la Ligue et du leader de l’opposition Marco Lanzi.

«L’illégalité doit être combattue, sans si ni mais. Et il est clair que ceux qui trafiquent devraient être mis en prison, Ce n’est pas à discuter. Mais le vrai problème, que le gouvernement est incapable de combattre, est le séjour de ces personnes en prison, ce qui arrive souvent ils se retrouvent libres au bout de quelques jours, rendant souvent vains tous les efforts quotidiens des forces de police. Nous parlons de la même droite, que représentent Baldelli, Baiocchi, Andreolli et qui parlent dans la presse d’un “message dévastateur d’impunité”, qui devrait être la première à garantir la sécurité dans les territoires, également, par exemple, en créant des emplois de la police, mais surtout en garantissant une sanction certaine et respectée. C’est là que le gouvernement doit intervenir. Pour lutter contre l’illégalité, nous avons besoin de règles et d’outils adéquats, dont nous ne disposons souvent pas, et surtout de davantage de personnel.”

Biancani précise : « Généraliser et parler « pousser à l’intégration » ne résume pas complètement ma pensée, mais ceux qui aujourd’hui s’indignent de mes paroles, exploitées à juste titre, ont un grand courage, faisant partie de forces politiques qui ont toujours crié, avec des slogans populistes, de lutter contre l’illégalité mais qui n’ont jamais rien fait. Si le parc Miralfiore et le quartier de la gare sont décrits comme des zones aux mains de l’illégalité, les critiques ne s’adressent pas au maire mais aux forces de police chargées de lutter contre l’illégalité et la criminalité, qui au contraire font également des efforts concrets si – comme je le dis l’avons déjà dit – malheureusement, ils ne sont pas en mesure de faire leur travail le mieux possible. Pour ma part, je ne rejetterai jamais la faute sur les autres et je crois qu’une discussion constante est nécessaire avec tous les sujets concernés, conscient de la réelle complexité du problème qui ne concerne pas seulement Pesaro, mais toutes les zones autour des gares d’Italie. . La Commune a toujours garanti sa volonté de collaborer, au point qu’à ce jour, elle participe à une opération, gérée par la Préfecture de Police, aux côtés de la Police, des Carabiniers et des Finances, pour lutter contre le trafic et le trafic de drogue. Ce n’est pas un hasard si l’une des premières choses faites après mon investiture a été de demander à la Préfecture, qui est l’autorité chargée de l’ordre public, delors de la convocation du Comité d’ordre et de sécurité qui se réunira vendredi prochain. L’Administration poursuivra les actions qui relèvent de sa compétence, principalement en poursuivant le réaménagement des lieux de dégradation, en les transformant en espaces de plus en plus accessibles, desservis et participés, car une ville plus vivante est aussi plus sûre. Citons par exemple la via dell’Acquedotto, qui au fil des années s’est transformée d’une arrière-boutique de la ville en un espace de loisirs intergénérationnel, le passage souterrain des Cappuccini récemment rénové, les interventions sur la nouvelle gare, le prochain réaménagement des deux parkings derrière la gare. et les nouvelles installations de vidéosurveillance dans tout le quartier de la gare, les parkings et le passage souterrain. Mais je réitère que la municipalité seule ne peut pas faire grand-chose, tout comme les forces de police elles-mêmes, si des règles claires et certaines ne viennent pas de l’État, annoncées à plusieurs reprises avec des slogans populistes mais jamais mises en œuvre avec des mesures véritablement efficaces”.

Enfin, la pique à l’opposition: «Ces dernières années, avec la droite au gouvernement, le nombre d’arrivées irrégulières en Italie a augmenté de manière très significative, une situation dénoncée au niveau national par les maires et les municipalités, mais ignorée par le gouvernement qui continue pour échapper à leurs responsabilités dès le premier accueil. Aujourd’hui, ceux qui arrivent dans les villes risquent de devenir des fantômes et de finir entre les mains de la pègre pour survivre : c’est pour nous une véritable urgence à combattre à Pesaro et dans tout le pays.

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