Marciniak toujours la bête noire de Spalletti, que s’est-il passé

Marciniak toujours la bête noire de Spalletti, que s’est-il passé
Marciniak toujours la bête noire de Spalletti, que s’est-il passé

Né à Płock en 1981, Simon Marciniak, désigné pour Suisse-Italie, a fait ses débuts à l’Euro2024 en toute discrétion lors de Belgique-Roumanie, où il a pourtant été aidé par la VAR. L’arbitre polonais jouit d’une grande considération à l’UEFA malgré un cursus comportant même des erreurs sensationnelles. , nous rappelle également Spalletti. En 2003, son Naples affrontait Milan en quarts de finale de la Ligue des Champions. La décision de rendre furieux les supporters napolitains n’accorde pas de pénalité pour contact dans la zone entre Leao et Lozano lors du match retour à Maradona. Marciniak a commencé l’arbitrage en 2002 et a réussi à atteindre les plus hauts niveaux en 2009, devenant arbitre FIFA en 2011. Le match le plus important arbitré par Marciniak est sans aucun doute la finale de la Coupe du Monde FIFA Qatar 2022 entre la France et l’Argentine. Lors de la Ligue des Champions 2022/23, il s’est vu confier la finale entre les Anglais Manchester City et l’Inter, disputée à Istanbul et se terminant par la première et historique victoire du club anglais entraîné par l’Espagnol Pep Guardiola. En Ligue des Champions cette année, il y a eu 6 matchs dirigés par Marciniak, dont le match entre le Borussia Dortmund et Milan, la victoire serrée de la Lazio contre le Néerlandais Feyenoord au stade olympique de Rome et le match nul entre Paris au Parco dei Principi Saint German et Newcastle. Uni.

Lors des huitièmes de finale, il a été l’arbitre désigné du match retour entre l’Atletico Madrid et l’Inter Milan, où les hommes de Diego Simeone ne se sont qualifiés qu’après une séance de tirs au but. Enfin, il a dirigé le match retour de la demi-finale entre le Real Madrid et le Bayern Munich au Santiago Bernabeu, qui s’est terminé par la victoire et l’accès de l’équipe entraînée par Carlo Ancelotti à la finale de Wembley. Cependant, l’erreur commise lors des dernières minutes de ce match pèse lourd, lorsque Marciniak a interrompu l’action quelques secondes avant que l’ancien joueur néerlandais de la Juventus Matthijs de Ligt n’inscrive le but égalisateur, ne permettant ainsi pas au VAR d’intervenir. Voyons comment il s’en est sorti hier à Berlin.

L’histoire de Marciniak avec l’Italie et la Suisse

Il n’y a que deux précédents contre l’Italie, tous deux sans victoire italienne. Le plus récent est un Angleterre-Italie en Ligue des Nations qui s’est terminé 0-0, tandis que l’autre est un Belgique-Italie 3-1 en 2015 en amical. Seulement un précédent avec la Suisseune victoire 2-0 contre l’Irlande.

L’arbitre a averti trois joueurs

Assisté par les assistants Listkiewicz et Kupsik avec l’Argentin Tello IV et Kwiatkowski dans le Varl’arbitre a réservé trois joueurs, tous issus de l’équipe nationale de Spalletti : Barella, El Shaarawy, Mancini.

Italie-Suisse, affaires au ralenti

Ce sont les épisodes douteux. A la 9ème minute, Cristante risque le jaune suite à une intervention brutale d’Aebischer. Le premier carton jaune arrive à la 35e minute pour Barella qui commet une faute sur Rieder par derrière. Marciniak contrôle le match sans problème et à la 45ème minute il avertit également El Shaarawy, qui a commis une faute sur Schar à l’entrée de la surface. Troisième jaune pour l’Italie à la 57e minute pour une intervention tardive de Mancini sur l’habituel Rieder. En seconde période, l’arbitre n’a pratiquement jamais besoin d’intervenir sauf avant le coup de sifflet final. Scamacca réclame un penalty pour un coup de main dans la surface pour Marciniak il n’y a rien et même le VAR survole. Suisse-Italie termine 2-0.

Source : Ansa

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