Bulletins électoraux, qui gagne et qui perd ? Marine Le Pen-Bardella par 9, Meloni, Wilders et Magyar promus. Orban et Scholz ont échoué

Top et Flop du vote européen qui a vu l’axe européen se déplacer vers la droite, mais pas suffisamment pour menacer (du moins sur le papier) la soi-disant majorité Ursula. …

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Top et Flop du vote européen qui a vu l’axe européen se déplacer vers la droite, mais pas suffisamment pour menacer (du moins sur le papier) la soi-disant majorité Ursula.

Bergame, la première maire élue Elena Carnevali: «Les citoyens me verront à l’œuvre parmi eux»

Marine Le Pen et Jordan Bardella

  • Score : 9 La flamme tricolore bleu-blanc-rouge de leur Rassemblement National a éclairé l’ensemble du groupe Identité et Démocratie (ID). Dans l’hémicycle de Strasbourg, ils passeront de 18 à 30 sièges, devenant ainsi le parti le plus important avec la CDU allemande.

Jordan Bardella

Tino Chrupalla

  • Note: 8,5 Le résultat “record” dans son pays natal a réjoui l’ancien peintre en bâtiment, aujourd’hui leader d’Alternative für Deutschland, le groupe d’extrême droite allemand qui a fait une percée dans les Länder de l’Est et parmi les jeunes. L’inflation et les migrants sont ses leitmotivs.

Giorgia Meloni

  • Note : 8,5 Grâce à la force motrice du Premier ministre, Fratelli d’Italia devient le maître absolu des conservateurs européens (ECR), qui se consolident comme la droite du gouvernement.

Geert Wilders

  • Note: 7,5 Même sans pouvoir répéter son succès politique, le Trump anti-islam néerlandais a réussi à s’emparer de 6 sièges dans l’hémicycle européen où il était absent jusqu’à présent. Et il promet une bataille sur les politiques d’asile.

Pierre Magyar

  • Note : 7 Après avoir abandonné Viktor Orban en février seulement, l’ancien conseiller du premier ministre hongrois est l’étoile montante de l’opposition dans son pays. En quelques mois, il a mené sa Tisza à près de 30% des voix et souhaite désormais s’établir en Europe dans les rangs du PPE.

Herbert Kickl

  • Note : 6,5 Le dirigeant autrichien xénophobe, anti-vax, pro-russe et anti-américain a réussi à dépasser les partis traditionnels qui ont toujours dirigé les gouvernements de Vienne après la Seconde Guerre mondiale. A Strasbourg avec son FPÖ il va agrandir la famille Id.

Magyar, l’anti-Orban hongrois qui fait désormais peur au Fidesz : de l’ascension politique au boom des élections européennes

Emmanuel Macron

  • Note: 4,5 Avec le coup de théâtre risqué de la convocation de nouvelles élections, le président français a certifié sa défaite écrasante. Entraîner avec lui toute l’équipe des libéraux européens de Renew.

Olaf Scholz

  • Note : 4 L’autre grand perdant est à Berlin. Et il porte le nom de Bundeskanzler. Le social-démocrate aura des mois délicats devant lui pour jouer ses cartes dans le jeu complexe des postes les plus élevés de l’UE et préparer les élections politiques de l’année prochaine.

Annalena Baerbock

  • Note : 3,5 L’ancienne promesse des Verts allemands, qui ont déjà chuté il y a trois ans alors qu’ils étaient sur le point de succéder à Angela Merkel, est le symbole de la débâcle des Verts européens.

Viktor Orban

  • Note: 2,5 Faisant la queue avec son ticket en main pour entrer dans les salles de l’ECR, le Premier ministre hongrois – attendu par la présidence de l’UE tant détestée – a perdu environ huit points de pourcentage par rapport à il y a cinq ans.

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