Le nouveau Pistoiese prend forme, avec Kharmoud et Logoluso Il Tirreno en ligne de mire

Le nouveau Pistoiese prend forme, avec Kharmoud et Logoluso Il Tirreno en ligne de mire
Le nouveau Pistoiese prend forme, avec Kharmoud et Logoluso Il Tirreno en ligne de mire

PISTÔIA. Les rumeurs concernant la construction du Pistoiese se poursuivent à un rythme incessant. Les gens ont soif d’informations et c’est pourquoi, même si le club n’a pas encore de siège, les journalistes ont été convoqués ce matin à 12h15 de nouveau au Campus Pistoia Nursery de Vannucci Piante où le directeur Massimo Taibi prendra la parole pour la deuxième fois.

Il l’avait déjà fait le 4 mai dernier au même endroit, en annonçant qu’il allait constituer une équipe pour gagner. Les rumeurs de ces derniers jours ne pourront probablement pas se confirmer puisque les joueurs engagés jusqu’au 30 juin ne peuvent officiellement accepter les propositions. Cependant, toutes les opérations et tous les projets ont été approuvés et autorisés par le patron orange Sergio Iorio, qui ne peut pas être présent physiquement mais suit par vidéoconférence comme c’est désormais l’usage dans le monde des affaires.

Cependant, la curiosité autour du numéro un de Pistoia est très forte. On parie beaucoup sur celui que le journal financier Milano Finanza qualifie de “monsieur milliard”. «Au début, le cœur de métier était simplement le phosphore – révèle MF -, celui de la tête d’allumette. Aujourd’hui au centre du développement se trouvent les dérivés du phosphore (organiques et inorganiques) les plus innovants : polymères, esters et chlorures, produits synthétiques mais aussi entièrement naturels : lubrifiants, détergents, additifs pour matières plastiques et bien plus encore. Au début, ce n’était que la Società anonima qui fabrique des allumettes et des produits similaires (Saffa), marque historique de la chimie Made in Italy, qui depuis 1929 est également une usine d’allumettes (Minerva et Svedesi) et de produits à base de jaune, de rouge ( violet) phosphores) et noirs, mais en 1997, avec une opération de rachat par la direction, le directeur général de l’usine de Spoleto, Sergio Iorio, a repris la petite unité de production de la famille Bonomi Bolchini (10 milliards de lires de chiffre d’affaires et 30 salariés). . En dix ans, le chiffre d’affaires s’était déjà élevé à 50 millions d’euros. En fondant Italmatch Chemicals, il a créé les bases pour développer une multinationale désormais axée sur la chimie durable, l’économie circulaire et les solutions ESG qui vise la cotation en bourse (le choix pourrait revenir à Wall Street, mais il est temps pour ces décisions) et le premier milliard de chiffre d’affaires d’ici quelques années (le business plan prévoit 1,5 milliard environ en 2026, le maintien du siège social à Gênes et un regard ouvert sur le monde grâce à 19 usines, 7 centres de recherche et 1.200 salariés qui dans les plans de développement ils passer à 1 500 en trois ans environ.” Bref, un manager qui a choisi Pistoia pour son rêve orange chéri depuis son enfance. Et le fait qu’Iorio admire aussi le football est également démontré par la photo qu’Erika Mirandas, une journaliste espagnole, publié sur sa page Instragam, qui pour ceux qui ne le savent pas est la belle-fille d’Iorio, à qui elle a donné deux petits-enfants, s’est fait représenter il y a quelques années aux côtés de nul autre qu’Edson Arantes do Nascimento, alias Pelè lors. une interview qui lui a été accordée par le « Black Pearl ». Pelè est venu à Pistoia en 1958 pour saluer les joueurs pistoiens revenus en Serie C. Cours et appels ? Peut être.

Radiomarket rapporte quant à lui l’arrivée possible de l’ancien du Team Altamura, Anas Kharmoud, né en 2000, et de Gaetano Logoluso (97 ans).

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