Conte à Naples, monte sur scène sur la scène du Teatro di Corte du Palazzo Reale

Conte à Naples, monte sur scène sur la scène du Teatro di Corte du Palazzo Reale
Conte à Naples, monte sur scène sur la scène du Teatro di Corte du Palazzo Reale

De Laurentiis à ses côtés. Effectivement, un pas en arrière. Avec toi il est monté sur scène sur la scène du Théâtre de Cour du Palais Royal et pas seulement métaphoriquement. En une heure, il a expliqué comment Naples mettra en place la défense, de la structure défensive à 3 ou 4 jusqu’aux règles qu’il imposera dans le vestiaire, où il n’y aura pas de malpancistes : “S’ils ne sont pas satisfaits, ils s’assoient à côté de moi et alors nous verrons. Sur le banc, jusqu’à ce qu’ils comprennent. Naples sera construit et géré par lui.

Manager, pas seulement entraîneur. De Laurentiis est à gauche d’un fier sudiste qui est revenu dans le Sud 33 ans après avoir quitté Lecce pour rejoindre la Juve. Le président hoche la tête et parle très peu par rapport à ses habitudes, heureux du grand coup qu’il a réalisé sur le marché des techniciens : il a amené ici un top type.

Qui sait ce qu’il a dû penser lorsque Conte a évoqué les erreurs commises dans la gestion après le championnat et le marché dans lequel il ne doit pas y avoir trop de choix mais des choix bien choisis, dans le respect du budget. Antonio stimule le public lorsqu’il dit que Naples doit être une destination et non une équipe de passe. Quarante secondes d’applaudissements dans le public où se trouve la ville qui compte, à commencer par le gouverneur DeLuca et le maire Manfredi.

De Laurentiis a choisi un entraîneur de haut niveau, ou plutôt un manager, pour ramener Naples au sommet. Des T-shirts à l’effigie de Conte et le slogan “Amma fatigue”, avec sa signature en bas, ont été distribués dans la salle. Mais lui, parlant de phrases dialectales, ne veut pas ignorer le passé. “Ça doit faire mal.” Comme l’écart de 41 points avec l’Inter. Un revers pour Naples, ou plutôt « pour nous » comme dit Conte, qui s’est déjà identifié dans ce contexte, partageant la volonté de Naples de redevenir grand. “Je ne suis pas là pour être un personnage de la crèche.”

Avec tout le respect que je dois au professeur Marco Ferrigno que lui a donné son berger, confié par Antonio à son cher ami Giulio Pazzanese lors d’une conférence de presse qui a fait chaud au cœur des Napolitains. Des mots très clairs, sans ces détours tortueux Spalletti. Les supporters et De Laurentiis savent qu’ils peuvent faire confiance à cet homme qui arrive à Naples pour répéter l’expérience de Chelsea. Il y a huit ans, les Bleus avaient atteint la dixième place – la même que Naples lors du dernier championnat – avant qu’il n’arrive et ne les guide vers la conquête de la Premier League.

Conte ne se cache jamais. Il demande du temps et de la patience mais il est le premier à ne pas vouloir attendre le rachat d’une équipe, ou plutôt d’une ville. Il a parfaitement compris, suite à l’intervention du professeur Guido Trombetti, le progrès de la ville sur le plan économique, culturel et touristique et aspire à ce que l’équipe maintienne ce rythme. “J’ai hâte de commencer la bataille.”

Slogan? Non, l’énoncé d’un programme de travail, dans lequel chacun doit se sentir impliqué, depuis De Laurentiis jusqu’aux magasiniers et jardiniers. Tout peut se résumer en quatre mots : « Faire et ne pas dire ». Avec la fierté de quelqu’un qui a tout conquis, même la scène du Palazzo Reale, avec ses propres sacrifices et qu’il essaiera de transmettre chaque jour à ses enfants, comme il le fait avec sa fille Vittoria, assise au premier rang avec sa mère Elisabetta. . Faites et ne dites pas. Le message que les fans voulaient entendre après un championnat douloureux, avec Naples expulsé des coupes d’Europe après 14 ans.

On tourne la page mais sans pouvoir croire que la dernière saison était une coïncidence. Antonio a raison : il y a eu de graves erreurs de gestion, du marché aux relations internes, et elles ne doivent pas se reproduire. “Les décisions m’appartiendront, ici il y a de la clarté et non de la confusion.” Il est clair qu’ils resteront Par Lorenzo Et Kvara et qu’à la place d’Osimhen nous chercherons le club qui paie 120 millions.

Il est clair que Méret il sera le gardien de but et il est clair que l’entraîneur essaiera d’encourager ceux qui ont eu moins d’espace et qui ont déçu, comme Lindström, l’ailier a payé 25 millions et évoqué au Théâtre de la Cour. Le commandant Antonio, qui dirigera Naples avec l’exemple de son engagement, ne laisse personne de côté dans cette aventure qu’il veut durer plus de trois ans. Même s’il veut gagner immédiatement.

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