Main de fer de Catanzaro et Noto : un demi-million d’euros pour libérer Magalini et Vivarini | Calabre7

Main de fer de Catanzaro et Noto : un demi-million d’euros pour libérer Magalini et Vivarini | Calabre7
Main de fer de Catanzaro et Noto : un demi-million d’euros pour libérer Magalini et Vivarini | Calabre7

“Il y a certaines situations qui doivent être définies aux endroits appropriés.” Ce qui a été déclaré hier après-midi par président de Catanzaro Floriano Noto, en marge de Prix ​​​​sportif Ceravolo organisé par Maurizio Insardà, a une signification précise et remet en question à la fois le le directeur sportif Magalini et l’entraîneur Vivarini. Tous deux ont déjà fait savoir au haut manager de Giallorossi qu’ils souhaitaient partir. Le premier est désormais destiné à Bari, le second rêve de Serie A (Empoli ou Cagliari) ou d’un projet gagnant en Serie B (Bari et surtout Frosinone). Un double adieu auquel Noto ne s’attendait pas et qui se transforme en double affaire.

L’avant-contrat signé par Magalini

Beaucoup ont été surpris par la façon dont le président était arrivé en juin, alors que le contrat du directeur sportif arrivait à expiration. En réalité, les faits sont différents. Noto avait déjà abordé la question liée à l’avenir de son marché masculin il y a deux mois et les parties étaient également parvenues à un accord, à tel point que Magalini a été convaincu de tout mettre noir sur blanc dans un avant-contrat non immédiatement déposé par le président. L’accord prévoyait un renouvellement pour deux ans avec une nouvelle échéance reportée à juin 2027. Ce qui a surpris Noto, c’est le revirement sensationnel du directeur sportif qui entendait ne pas continuer à embrasser le projet Bari de De Laurentiis junior. “Je pars” aurait dit Magalini, ce qui a excité Noto et à ce moment-là, il a ouvert le coffre-fort et a dûment déposé l’accord préliminaire signé précédemment. Officiellement Magalini est membre de Catanzaro, ne sortira pas le 30 juin et restera lié au club Giallorossi pendant encore deux ans. Quiconque souhaite l’embaucher devra d’abord en parler à Floriano Noto qui, à ce stade, il pourrait demander entre 100 et 150 mille euros pour le libérer. L’alternative? Une véritable cause de travail qui, sur le plan sportif, se déroulera devant le Comité d’arbitrage avec tous les risques associés et liés, notamment pour Magalini, obligée de rester immobile on ne sait combien de temps.

La situation de Vivarini et la fin d’une relation idyllique

Pour Vincenzo Vivarini aucun contrat préalable n’était nécessaire. Il avait déjà signé le renouvellement l’été dernier et son contrat expirera en juin 2025, Catanzaro ayant réservé une option pour une année supplémentaire. La situation est claire et Floriano Noto l’a réitéré publiquement : “Il est sous contrat, il ne peut pas partir du jour au lendemain”. La même chose s’applique à Magalini. Celui qui veut Vivarini devra s’asseoir à la table avec le président de Catanzaro et négocier. Combien vaut la résiliation du contrat de l’entraîneur des Abruzzes ? Entre 300 et 350 mille euros, soit l’équivalent du salaire annuel. Frosinone de Stirpe est sur ses traces mais attention à la valse des bancs en Serie A avec le casse-tête Nicola qui pourrait également impliquer Vivarini. Cagliari et Empoli sont les places à surveiller dans le championnat national suprême. Le successeur sur le banc Giallorossi ? Aquilani selon les rumeurs du marché. L’ancien joueur de la Roma et de Liverpool est lié contractuellement à Pise et est dans le viseur de la Reggiana. Noto jure ne pas l’avoir contacté : « Nous avons un entraîneur sous contrat – a-t-il répété – qui est Vivarini ». Vérité ou stratégie ? Certes, la rupture entre Vivarini et Noto est désormais irréparable. Le président a tout fait pour convaincre son entraîneur de rester : il a proposé un ajustement salarial important et des investissements garantis sur le marché des transferts. Rien à faire. Vivarini ne pense pas à l’argent mais à un projet ambitieux. Il veut gagner et aller en Serie A. Sinon immédiatement, l’année prochaine.

L’avenir de Catanzaro et le plan B de Noto

Aux adieux de Magalini et Vivarini s’ajoutent les adieux évidents de Diego Foresti dont le contrat expirera le 30 juin. Aucune option et aucune proposition de renouvellement. Fin d’un cycle. Le président Noto est resté seul aux commandes, mais depuis l’Auditorium Casalinuovo, il a rassuré les supporters : “Il faut s’y habituer, dans le monde du football, il y a des cycles qui s’épuisent.” Celui de la triade Foresti-Magalini-Vivarini est épuisé. Ils partiront, Catanzaro et ses immenses fans restent propriété de Noto. “Je suis très serein, nous avons un plan B en tête” annonce Noto. Tout le monde se demande de qui cela va recommencer. Les dernières nouvelles disent que l’hypothèse de Matteo Lovisa en tant que directeur sportif a déjà échoué. Le président de la Juve Stabia réclame 500 mille euros pour le libérer et mettre fin au contrat de deux ans qui lie le jeune manager aux Vespas. Le chemin menant à l’ancien club de Bari est impraticable pour diverses raisons Ciro Politocelle qui y conduit reste réalisable et facilement réalisable Massimo Bava, déjà membre du club Giallorossi, ancien manager du secteur jeunesse de Turin qui a tout gagné et directeur sportif des Granata après les adieux de Gianluca Petrachi. Une solution interne à ne pas négliger même si peu médiatisée par les experts du marché des transferts soucieux de sponsoriser ou de promouvoir d’autres profils aux CV nettement inférieurs à ceux de Bava lui-même dans un monde où la méritocratie ne compte pas toujours.

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