«Les entrepreneurs payaient 50 euros pour chaque préférence»

Une enquête menée principalement par les activités de écoute téléphonique Et télématiquemais aussi avec les services d’observation et d’acquisition documentaire qui ont conduit hier matin à l’arrestation de cinq personnes dans le cadre de l’enquête sur les travaux publics à Commune de Caserte. Enquêtes et écoutes téléphoniques qui partent cependant d’une autre activité d’enquête : celle du DDA de Naples pour drogue et pour vote échange politiquemafia.

Et le 2021 quand l’enquête commence Direction départementale anti-mafia. Au cours de l’exploration, une série de conversations téléphoniques émergent qui révèlent un intérêt concret pour Antoine Avaler (non étudié dans cette procédure) – considéré par les enquêteurs comme un représentant historique de la Clan Belfort – à la candidature de l’enfant Gennaro (sous enquête) aux élections administratives de la municipalité de Caserta cette année-là et la volonté de cette dernière de soutenir la candidature de Émiliano Ferme, actuel adjoint au maire de la municipalité de Caserta. Par ailleurs, il apparaît également qu’un autre historien appartenant au Clan Mazzacane, John Capone, serait prêt à soutenir la candidature de Massimiliano Marzo, qui deviendra plus tard conseiller aux travaux publics grâce également à ses 886 voix (même résultat que son collègue Casale). C’est à ce moment qu’intervient la nouvelle activité, qui a déclenché hier, outre le 5 arrestations, une information de garantie contre l’adjoint au maire sur l’accusation d’échange de voix. Ce dernier crime a également été contesté au conseiller March.

L’ARRIÈRE-PLAN

D’après ce qui ressort de l’ordonnance signée par juge d’instruction Daniela Vecchiarelli, Ferme ça aurait a demandé le vote de Rondinone, lui promettant la cession d’œuvres en échange. La dépendance qui aurait alors lieu dans Septembre 2022, quand Rondinone – qui avait ouvert une entreprise individuelle pour des activités de construction non spécialisées uniquement en septembre 2021 quelques jours avant les élections – il a été désigné par le conseiller Marspour le compte de Casale, les travaux au école maternelle publique dans le hameau de Santa Barbara. Gennaro Rondinone, entre autres, avait également obtenu la candidature aux élections locales sur la liste Action, en soutien au maire Marino, mais n’avait enregistré aucune préférence. À cet égard, une interception entre Antonio Rondinone et un parent, dont le premier a informé le second de la possibilité de présenter la candidature de Gennaro après une consultation avec Émiliano Ferme, avec qui il avait pris rendez-vous. Et Antonio Rondinone a parlé de l’issue de la rencontre avec Casale en un appel téléphonique suivant, dans lequel il expliquait au même parent que le Député maire il aurait envisagé la possibilité pour Gennaro de recevoir aide pour les petits travaux. Une autre conversation, jugée pertinente par les enquêteurs, est celle dans laquelle un proche de Rondinone a exprimé la nécessité d’une réunion pour décider d’une stratégie, afin d’organiser un rendez-vous avec Casale et d’évaluer les promesses faites. Et bien sûr, ils émergent aussi appels téléphoniques après bulletin de voteentre octobre et décembre, ce qui, selon le Procuration ils certifient les relations post-électorales entre l’entrepreneur et l’adjoint au maire. Dans l’un de ces cas, Rondinone a demandé à Casale des informations sur le règlement de sa facture pour un travail effectué. Au cours de l’enquête, l’emploi de Gennaro Rondinone dans l’entreprise a également été révélé. Ange Campanile (enquêté) en tant qu’ouvrier effectuant des travaux d’entretien dans des bâtiments scolaires. Comme l’indique l’ordonnance, cette hypothèse fait suite à une promesse faite pendant la campagne électorale par Massimiliano Marzo à la demande de Casale lui-même.

L’ACHAT

Le vote d’échange s’exprime également à travers une présomption préférences d’achat et de vente. Selon ce qui ressort de l’ordonnance, en effet, compte tenu de la promesse de futures missions de travaux publics, certains entrepreneurs auraient payé 50 euros de leur poche pour chaque voix attribuée à leurs candidats. Évidemment, la procédure en est à ses balbutiements et toutes les accusations seront confirmées ou démenties au cours de la phase du procès. En outre, il ne peut être exclu que d’autres mesures puissent découler de l’enquête en cours menée par l’entreprise. Dda.

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