Alertes loups et sangliers dans la région des Marches, dégâts augmentés de 75%. Coldiretti du Préfet : «La situation est désormais hors de contrôle»

ANCONA En 2010, l’indemnisation des dommages causés par la faune sauvage au niveau régional s’est élevée à environ 800 mille euros. L’année dernière, nous avons atteint 1,4…

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ANCONA En 2010, l’indemnisation des dommages causés par la faune sauvage au niveau régional s’est élevée à environ 800 mille euros. L’année dernière, nous avons atteint 1,4 million d’euros. Une hausse de 75% qui traduit en chiffres un problème qui a abouti à une urgence.

La comparaison

Ce n’est pas un hasard si les agriculteurs sur le pied de guerre et prêts à se mobiliser ont rencontré hier le préfet d’Ancône Saverio Ordine pour chercher une solution au fléau des sangliers, fléau des champs et cause d’accidents de la route. «La situation est désormais hors de contrôle», alertent Maria Letizia Gardoni et Alberto Frau, respectivement président et directeur de Coldiretti Marche. La présence de sangliers est estimée à 40 mille têtes dans toute la région, même à proximité des centres urbains les plus peuplés. Coldiretti n’épargne pas le Palazzo Raffaello: «Il est temps pour la Région, étant donné que le plan de confinement des ongulés a expiré en 2023 et a été prolongé, de se doter d’un nouveau document qui rend la lutte plus incisive». En attendant de voir si ce recours sera retenu, hier au Conseil régional a été approuvée à la majorité la loi qui met à jour les règles – bloquées en 1995 – de protection de la faune sauvage, de protection de l’équilibre environnemental et de réglementation de la chasse. activité. L’article prévoit le transfert de certaines compétences de la Province à la Région et réglemente les compétences et le fonctionnement des zones territoriales de chasse, le contrôle de la faune sauvage, la commission consultative régionale, la gestion des piquets fixes et des zones de dressage de chiens.

Ressources

Pour financer la loi, 9 millions d’euros ont été prévus dans le budget pour la période de trois ans allant jusqu’en 2026. Une législation “qui n’a pas eu une genèse simple”, dit par euphémismes le conseiller à l’Agriculture et à la Chasse Andrea Antonini. «Nous avons commencé à en parler en mai de l’année dernière», et même au sein du Conseil, il y a eu quelques frictions sur ce sujet pour le moins difficile. Mais il a assuré que “les entreprises agricoles seront toujours indemnisées intégralement pour les dommages et que des fonds de prévention sont prévus”. Des propos qui sont repris par ceux de l’orateur majoritaire Marco Ausili (FdI) : « Fonds régional qui assure les ressources ATC pour les activités de gestion de la faune et de l’environnement. Le tout accompagné d’un plan plus efficace pour contenir l’espèce de sanglier.” Des assurances qui ne convainquent pas la rapporteure minoritaire Micaela Vitri (Pd) : « Une loi nécessaire, mais la manière dont elle a été mise en place déplaît à tout le monde. Elle ne trouve aucune solution ni aux ATC ni aux dommages causés à l’agriculture par les sangliers et les loups. » Qui en sont désormais venus pratiquement à se promener sur les plages.

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Courrier Adriatique

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