Vérone, professeur accusé d’une maison « aux feux rouges ». Interrogatoire reporté : «Je suis commissaire au diplôme d’études secondaires»

Absent, tout à fait justifié, al procès dans lequel il est accusé parce que faire face à… examens finaux. Vous vous attendez à ce que ce soit un étudiant et à la place, vous vous retrouvez accusé d’un prétendu “phare rouge”c’est un professeur d’histoire qui semble occupé ces jours-ci commissaire d’examen à Vérone, dans un lycée. Celui du calendrier semblait, à première vue, être une épreuve pour aide et encouragement à la prostitution comme beaucoup d’autres, mais au tribunal de Mantoue, il y a eu un retournement de situation complètement inattendu : l’un des deux accusés, dont l’interrogatoire devant les magistrats du Tribunal Collégial était prévu hier encore, a envoyé à la salle d’audience la communication de son impossibilité d’assister à l’audience comme il est appelé à le faire, comme c’est le cas dans tous les lycées d’Italie, comme cmembre d’une commission d’examen au travail ces jours-ci dans un lycée de Vérone.

Interrogatoire reporté

Absence tout à fait justifiée au palais de justice de Mantoue, donc celle d’un professeur d’histoire véronais dont jeL’interrogatoire dans la salle d’audience de l’accusé a donc été reporté à février 2025. Le Corriere di Verona choisit de divulguer uniquement ses initiales et non son identité complète pour sauvegarder la sérénité des étudiants impliqués dans les examens finaux avec le professeur. Le professeur BS véronais de 62 ans qui a eu des ennuis – selon les accusations qui l’entourent accusé à Mantoue avec le dominicain Eduardo Amos De La Rosa, résidant également à Vérone – aurait été un prétendu “appartement chaud” ce qui aurait attiré une file de clients vers Viale Brigata Mantova. Un “succès” confirmé par les chiffres : des enquêtes des carabiniers lombards, d’autres auraient émergé 2 200 appels entrants vers les deux numéros de mobiles répertoriés sur un site d’escorte en ligne.

La plainte des voisins

L’affaire remonte au premier semestre 2019, entre mars et juin : le prétendu «hot house» est située au quatrième étage d’un immeuble non loin de l’hôpital de Mantoue. Selon les enquêteurs, il s’agirait loué par les deux prévenus véronais, le professeur et le sud-américain: autour de ce prétendu “appartement en alcôve”, surtout le soir et la nuit, un crime aurait éclaté des allées et venues authentiques, finissant par rendre les autres locataires méfiants et inquiétants du palais. C’est précisément à partir de leurs signalements et plaintes à la police que les enquêtes ont commencé. Lors du procès, une escorte a admis qu’à l’intérieur de ces murs «J’ai couché avec des hommes et des femmes, mais seulement pour m’amuser, pour m’amuser, jamais pour de l’argent». Et à propos des accusés, il a ajouté : « BS (le professeur, ndlr) et mon cousin (De La Rosa, ndlr) ils ne savaient rien, ils n’avaient rien à voir avec ça. » Et comment l’enseignant va-t-il se défendre lors de la prochaine audience ?

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