«Je leur aurais reproché la communication»

Une couverture pour une personne ne fait de mal à personne. Dimanche, le maire de Trente, Franco Ianeselli, et le président de la province, Maurizio Fugatti, se sont retrouvés, au sens figuré, dans les eaux de l’Adige lors de la lutte acharnée, même si c’est encore une fois le casse-cou Giorgio Vianini qui s’en est chargé. lui-même pour expier leur sentence , désormais vétéran des eaux froides du fleuve. Le maire a été “condamné” à la prison par le procureur Mario Cagol pour diverses raisons dont “l’échec du projet de scooter”, le manque de places de stationnement dans la ville et une attention portée aux deux roues qualifiée “d’excessive”. «Le nom “Bicipolitana” ne peut pas être entendu» a déclaré Cagol. Ianeselli prend tout cela dans un bon esprit. «Je crois que l’habitude est un acte ludique – a déclaré le maire – une sentence sans appel». Puis il se permet aussi une blague. « En ce qui concerne le contournement, ce serait bien que RFI communique l’état des travaux. Voilà, si je pouvais les toucher, je le ferais. » Une plaisanterie qui ouvre pourtant sur un sujet sérieux, celui de l’état des travaux et de la position de la Commune. «Les travaux sur le contournement ont repris ces derniers jours. Cette semaine, les travaux devraient s’intensifier dans le sud, dans la zone de Mattarello – dit le maire – Ici, ces derniers mois, j’aurais pu me tailler le rôle du maire qui s’oppose à ce qui est un travail stratégique d’intérêt national et aussi réalisée au niveau provincial, qui se connecte au tunnel du Brenner. Au lieu de cela, mon administration a décidé de faire sa part pour poursuivre le projet de décharge né il y a 20 ans et d’accompagner les travaux en donnant la priorité à la santé des citoyens. Ianeselli s’est ensuite également concentré sur l’autre sujet pour lequel il a été défini comme “méritant de tonique”, la mobilité et les scooters. «Le projet de scooter se poursuivra pendant encore au moins deux ans. C’est la convention. À ce jour, quiconque ne stationne pas sur les emplacements désignés, mais place néanmoins le scooter de manière à ne pas obstruer les trottoirs, paie une taxe supplémentaire d’un euro. Pour ceux qui les abandonnent indûment, il y a une amende, et nous en avons infligé quelques centaines. » Les choses pourraient encore changer à l’avenir. «Je pense que pour le confort du gérant – conclut Ianeselli – à l’avenir, il y aura un autre changement et il sera obligatoire de laisser les scooters dans l’un des 250 stands désignés dans la ville. Cela permet à la fois d’éviter qu’ils traînent et de faciliter le travail de collecte et de réapprovisionnement du gestionnaire.” À ceux qui soulignent qu’on a peut-être fait beaucoup de bruit pour rien, sachant qu’il y a deux cents scooters dans une ville qui compte presque une voiture pour chacun de ses 100 000 habitants, le maire lève la main: «C’est peut-être vrai, mais le la condamnation de cette habitude est, à juste titre, sans appel. »

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