Salles nommées d’après Lombardi et Tetella – Teramo

TÉRAMO. À l’école Gemma Marconi et à l’institut Regina Margherita, on se souviendra de deux personnes de Teramo décédées au cours des derniers mois, protagonistes de la vie culturelle et sociale de la ville : Patrizia Lombardi Et Maria Teresa Di Antonio connu sous le nom de « Tetella ». La future salle de jeux de Marconi portera le nom de Lombardi, journaliste et écrivain ; L’ancien théâtre Regina Margherita portera le nom de Tetella, impliqué dans de nombreuses initiatives de solidarité.
La décision a été prise par l’Asp1 sur proposition du commissaire extraordinaire Roberto Canzio. «Nous poursuivons ce qui était et reste une digne tradition historique de l’ASP», affirme Canzio, «c’est-à-dire se souvenir des personnes qui se sont distinguées par leur professionnalisme et leur engagement envers la communauté à laquelle elles appartiennent. Un hommage sincère et convaincu qui revivra dans ces espaces qui, une fois les travaux de récupération et de rénovation terminés, retrouveront leur pleine utilité.”
Lombardi, né à Teramo le 16 juin 1959 et décédé le 6 janvier, a dirigé divers périodiques. Dans le domaine de la fiction, il a reçu des reconnaissances nationales et internationales, notamment le prix spécial du jury au Prevert de Milan et deux éditions du Prix Teramo pour une histoire inédite. De nombreux écrits ont été publiés sous forme d’anthologies, de transpositions théâtrales et de lectures scéniques. De nombreux écrits ont été publiés sous forme d’anthologies, de transpositions théâtrales et de lectures scéniques.
« Tetella », née à Teramo le 12 mai 1952 et décédée le 18 février, a exprimé son engagement social dans le secteur associatif pour garantir les droits des personnes les plus fragiles et les plus nécessiteuses. Elle s’est également impliquée en politique et a été conseillère municipale de 2004 à 2008.

PREV Naples, occupation illégale des locaux scolaires : des dommages et intérêts également demandés aux directeurs d’école
NEXT « Phénomène classiste ». “Non, c’est juste de l’amour”